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20/04/2016

Immobilier - La commission d'agence, "à la tête du client ?"

Est-il normal qu'une agence immobilière propose des honoraires différents en fonction du client ?

DSC05450.JPGUn Havrais m'a posé cette question il y a quelques jours, surpris de voir qu'une agence à qui il a confié la vente de son appartement ait indiqué sur le mandat des honoraires de 7000€ alors que cette même agence propose d'autres biens plus chers avec des honoraires de 5000€.

Y a-t-il une règle dans les honoraires d'agence, ou est-ce que le barème peut être "à la tête du client" ?

Chaque agence possède un barème, au-delà duquel il ne peut aller. Ce barème doit être mis en évidence au sein de l'agence immobilière et vous devez pouvoir y accéder le plus simplement du monde. Toutefois, si la commission maximale autorisée est indiquée, le négociateur qui prend en charge votre appartement ou votre maison peut mettre la commission de son choix, tant qu'il ne va pas au-delà du barème.

Dans la pratique, vous pouvez au sein d'une même agence avoir une commission de 10000€ pour votre appartement et votre voisin, pour un appartement équivalent et affiché au même prix, une commission de 8000€. A vous de faire valoir que le montant de la commission a été mis "à la tête du client" et que vous avez été pris pour un mouton facile à tondre.

Après vérification sur le site internet de l'agence pour laquelle j'ai été contacté, il est en effet assez incroyable de voir qu'un vendeur a obtenu des honoraires de vente de 8000€ pour un appartement à 99 000€ net vendeur... et un autre des honoraires de 5000€ pour un appartement à 115 000€. L'écart est même quasiment du simple au double pour un bien immobilier à environ 200 000 € (12000€ pour l'un et 7000€ pour l'autre, pourtant plus cher).

Si vous avez l'impression d'être le dindon de la farce, à vous d'exiger un avenant au mandat de vente, afin que les honoraires soient cohérents !

Alexandre CAUCHOIS.

Pour la vente de votre maison ou de votre appartement, retrouvez mes conseils immobiliers sur www.vendreseulsamaison.com.

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15/04/2016

Des ruches sont installées sur le port du Havre

Communiqué d'HAROPA - Le Havre, Rouen, Paris - écologie, préservation des espèces

Dans le cadre de leur politique environnementale, les ports de Rouen et du Havre lancent un partenariat avec l’association d’insertion « Interm' Aide Emploi » pour installer des ruches sur leur territoire.

uuii.pngDe son côté, HAROPA – Ports de Paris renouvelle pour trois ans une convention de partenariat avec l’Union Nationale de l’Apiculture Française.

Ce jeudi 14 avril 2016, HAROPA - Port de Rouen et HAROPA – Port du Havre ont ainsi installé douze ruches au cœur des zones portuaires. Six ruches ont été placées au sein de la zone portuaire rouennaise dans une ancienne chambre de dépôt de sédiments de dragage, sise sur la commune de Moulineaux, à une quinzaine de kilomètres au Sud de Rouen. Six autres ruches ont pris place sur la zone industrialo-portuaire du port du Havre, au sud du Grand Canal, à proximité du terminal multivrac.

Les sites d’accueil sélectionnés sont des espaces naturels qui présentent l'avantage d'être hors zones de passage, ombragés, clos et qui offrent une grande diversité de plantes mellifères.

Dans la circonscription portuaire du Havre, plusieurs centaines d’hectares d’espaces verts constituent une importante réserve de biodiversité. «Depuis plusieurs années, rappelle Pascal Galichon, Directeur de l’Environnement et de la Planification au Port du Havre, la gestion de ces espaces fait l’objet d’une démarche rigoureuse de façon à limiter les impacts sur l’environnement et à favoriser la préservation de la biodiversité. Citons notre gestion différenciée qui consiste à limiter le nombre de tontes en laissant une végétation naturelle se développer. Citons également la mise à disposition de terrains pour la fenaison aux agriculteurs, l’expérimentation de méthodes alternatives à l’usage de produits phytosanitaires ou encore la mise en œuvre de plans de gestion écologique sur plusieurs sites tel l’Espace préservé.»

En plaçant des ruches au cœur des zones industrialo-portuaires, les ports normands et « Happy culture citadine » permettent à l’abeille de s’intégrer dans ce tissu et de sensibiliser le public à sa sauvegarde qui demeure, au-delà du monde des apiculteurs, un enjeu majeur sur le plan environnemental et économique. Le 15 mars dernier, HAROPA - Ports de Paris a pour sa part renouvelé pour trois ans la convention de partenariat signée en 2013 avec l’Union Nationale de l’Apiculture Française (UNAF) dans le cadre du programme "Abeille, Sentinelle de l’environnement". Les ports de Bonneuil-sur-Marne (94) et Gennevilliers (92) disposent en effet de six ruches chacun (dont trois ruches pédagogiques) exploitées par l’UNAF et organisent les APIDAYS, journées de présentation pédagogique au public. Plus récemment, le port de Limay-Porcheville (78) a rejoint le mouvement avec trois ruches.

Photo HAROPA

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14/04/2016

Solidarité : Offrez un voyage à des handicapés du Havre !

La Fédération des Malades et Handicapés du Havre organise son premier voyage découverte en Espagne avec quatre personnes handicapées et malades et trois bénévoles.

899fa35e00afbe5e36a234a910dbf9.jpgCréée en 1945, la Fédération des Malades et Handicapés du Havre (FMH)  assiste les malades et handicapés auprès des grandes instances nationales, telle que Commission des Droits et de l’Autonomie des Personnes Handicapées (CDAPH) et dans les communes (CCAS). Elle fait aussi partie de commissions communales d’accessibilité.

Le voyage en Espagne va permettre à des malades et handicapés de découvrir Alzira, dans la région de Valencia. Ils seront hébergés dans un centre d'apprentissage de la langue espagnole, au coeur des orangers. Le centre possède en effet le nécessaire pour recevoir et héberger des handicapés.

Les activités prévues sur place sont les suivantes :

 

  • découverte de la culture et de la récolte des oranges, mandarines, clémentines et citrons
  • visite des rizières des alentours
  • visite de la ville de Valencia et quelques uns de ses musées, son aquarium
  • visite des monastères voisins
  • découverte de la langue espagnole, sa cuisine, ses traditions...

 

Une partie du voyage est déjà financée par les adhérents, le projet de financement participatif concerne les derniersFMH-LOGO2-190x190.png frais comme les transferts en véhicules jusqu'aux aéroports, une partie des billets d'avion, la location d'un véhicule spécial sur place, les entrées dans les différents musées etc.

Vous pouvez participer au financement de ce premier voyage pour des malades et handicapés, en vous rendant sur le site Hulule (ici : http://fr.ulule.com/voyage-en-espagne).

Pour en savoir plus sur la FMH, cliquez sur le logo de la fédération et vous découvrirez leur site, présentant l'association et ses actions.

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30/03/2016

Musées gratuits au Havre samedi 2 avril 2016

JeVisAuHavre - Sortir au Havre


Samedi 2 avril, comme tous les premiers samedis du mois, les musées havrais sont gratuits.

418440353.jpgA découvrir donc :

  • Le musée André Malraux - 2 boulevard Clémenceau
  • La maison de l'Armateur - quai de l'Ile
  • Le prieuré de Graville - rue du Prieuré
  • L'Espace André Graillot - chaussée Kennedy
  • L'appartement témoin - 1 place de l'Hôtel de Ville
  • L'Hôtel Dubocage (ancien Musée de l'Ancien Havre) - 1 rue Jérôme Bellarmarto
  • Le Museum d'Histoire Naturelle, place du Vieux Marché

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### Actu emploi : Vous recherchez un emploi ? Offrez des opportunités sociétales innovantes ! Participez à la réunion d'information de lundi 4 avril au Havre, à 18h30. Plus de renseignements par mail à jevisauhavre@yahoo.fr ou par téléphone au 06 62 01 65 80. ###


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09/03/2016

Concert du Conservatoire du Havre jeudi 10 mars

carre_web_conservatoire_1.jpgA l'occasion de la Semaine des Cuivres, le Conservatoire Honegger propose un concert de qualité.

Accompagnés au chant de la Chorale Éphémère, un groupe de passionnés qui se produit pour la troisième fois au Havre en seulement quelques semaines, les étudiants présentent le fruit de leur travail. Un grand moment à découvrir ce jeudi à 20h00, au sein du Théâtre de l'Hôtel de Ville.

Un concert à ne pas manquer.

Avec un conseil : soyez présent au minimum 30 minutes à l'avance afin d'espérer avoir votre place !

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27/02/2016

La Havraise Philippine éblouit le jury de The Voice

124578.pngAvec une version splendide de The Sound of Silence, de Simon and Garfunkel, Philippine a ému le public.

Passionnée de musique depuis ses 5 ans, la joueuse de piano est également guitariste et surtout une excellente chanteuse, ce qu'elle a parfaitement démontré sur la scène de The Voice.

Au final, les quatre membres du jury ont aimé sa prestation... avec une ovation debout bien méritée !

Nous vous proposons de revoir sa prestation (vidéo TF1).

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### Actu emploi : Vous recherchez un emploi ? Et si vous étiez rémunéré pour rendre service ? Participez à la réunion d'information de lundi 29 février au Havre, à 18h00. Plus de renseignements par mail à jevisauhavre@yahoo.fr ou par téléphone au 06 62 01 65 80. ###

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23/02/2016

La première épicerie écologique de Normandie ouvre au Havre !

Ecologie, Commerce - Le Havre


Faire ses courses sans emballage en Normandie, c’est (enfin) possible.

Jonathan-LECHEVALIER_day-by-day-Le-Havre-e1456238453404.jpgC'est au cœur du Havre qu'a ouvert aujourd'hui le magasin day by day, qui propose de l'épicerie "en vrac". Un système de consommation qui plait de plus en plus, basée sur l'idée que c'est le contenu et non l'emballage que nous consommons. De ce fait, on y propose des produits d'une excellente qualité, sans les traditionnels emballages, qui polluent et dont notre planète déborde déjà bien trop.

Jonathan Lechevalier, le gérant Havrais du dixième magasin de la première chaîne française d'épicerie en vrac, a ainsi abandonné l'industrie pharmaceutique pour un commerce qui correspond à ses "convictions personnelles", tout à la fois "plus respectueux écologiquement" et qui permette "de participer à la lutte contre le gaspillage alimentaire", explique-t-il sur le site de la franchise.

Un vœu pieu pour lequel on lui souhaite un franc succès !

Retrouvez day by day au 90, rue Bernardin de Saint-Pierre (à l'angle de la rue Paul Doumer).

Horaires :

  • Du mardi au jeudi : de 10h00-13h30 puis 14h45-19h15
  • Du vendredi au samedi : de 10h00 à 19h15
  • Dimanche : 9h30-13h30

Photo day by day.

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16/02/2016

Témoignage : Prenez garde aux Témoins de Jéhovah !

Les témoins de Jéhovah sont-ils vraiment des personnes gentilles, comme ils le laissent paraître ?

images (22).jpg

(Alors que les témoins de Jéhovah arpentent les rues en vue d'inviter les Havrais à leur "mémorial" qui aura lieu le 23 mars, nous jugeons utile de vous proposer à la lecture cet article déjà publié en mai 2013 et en mars 2015.)

Vous les retrouvez attendant le client devant l'Université ou aux portes des marchés, un présentoir empli de journaux mettant en scène la violence, les guerres, la drogue, bref, tous les sujets angoissants imaginables. Ils sont d'ailleurs, selon les chiffres donnés par les Témoins de Jéhovah eux-même, plus de 165 000 avec ces présentoirs. On les trouve ainsi, devant cet étal stressant, parfois souriants, souvent bien tristes. Ils sont dans tous les cas prêts à vous "donner" un de leurs textes. Mais pourquoi sont-ils là ? D'où vient ce mouvement ? Et comment vit-on chez les témoins de Jéhovah ? Voici quelques-unes des questions que va aborder cet article.


220px-Photodrama_of_creation.jpgLes témoins de Jéhovah sont nés aux Etats-Unis, sous la main d'un businessman Américain rodé aux créations d'entreprises, Charles Taze Russell. Il fonde ainsi une société d'édition dédiée aux ouvrages religieux, qu'il rédige lui-même en s'auto-proclammant "Pasteur Russell", en collaboration parfois avec une autre plume. Le succès ne se fait pas attendre, puisque dans les premières années l'un de ses livres se vend en 1 400 000 exemplaires. L'argent coule à flots et s'ensuivent plusieurs procès, l'accusant de détourner de l'argent. En 1911, il est condamné également pour escroquerie, pour la vente d'un blé soit-disant "miraculeux", vendu aux fidèles 60 fois le prix normal du blé. Charles Taze Russell cultive une seconde passion, les femmes, ce qui le mènera à son divorce. L'homme, qui compte parmi ses autres vices le racisme, est pourtant considéré par un nombre de plus en plus important de fidèles comme le canal utilisé par Dieu pour parler aux humains. Ils sont ainsi 13 000 en 1914.

1914 est par ailleurs l'année de la première prophétie pour les témoins de Jéhovah. Dieu devait en effet tuer tous ceux qui n'étaient pas membres de leur mouvement cette année-là. Comme la fin du monde n'a pas eu lieu, il fut inventé avec le temps d'autres dates : 1918 pour la fin du monde, puis 1925 pour la résurrection de prophètes comme Moïse, Abraham et David, 1975 à nouveau pour la fin du monde... Leur dernière prophétie indique que des personnes nées avant 1914 verraient la mort de tous ceux qui ne pratiquaient pas leur culte. Ce besoin morbide de "fin du monde" les classe dans les sectes millénaristes.

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Lorsque le fondateur des témoins de Jéhovah décède, l'un des avocats de l'entreprise, Joseph Franklin Rutherford, fomente un véritable putsch pour prendre la direction. Ce dernier se donne le titre de "Juge" et remplace à la tête de la société plusieurs des membres d'administration. Il invente lui aussi plusieurs prophéties, dont la destruction des religions en 1918 ou l'anarchie mondiale en 1920. Menant des actions musclées contre les autres religions, il purgea avec d'autres membres 10 mois de prison en 1918-1919. Vivant dans un luxe démesuré, il était également connu pour ses excès d'alcool.

Sans titre.pngEn 1933, les témoins de Jéhovah américains et allemands ont fait parvenir à Adolf Hitler un courrier que l'historien James Penton qualifie d'ouvertement "antisémite", qui commence par "Très Cher Chancelier du Reich" et indique que leur entreprise partage les idéaux d'Hitler. En effet, la filiale allemande de l'entreprise était la plus prospère et l'Allemagne nazie souhaitait les interdire et procéder à la saisie de leurs biens. Ils devaient donc absolument trouver une solution pour poursuivre leurs activités et la main tendue à Adolf Hitler fut la stratégie mise en place. Le leader allemand les fit tout de même interdire pendant la seconde guerre mondiale.

Les témoins de Jéhovah, secte dangereuse

C'est à Joseph Franklin Rutherford que l'on doit les premières réelles dangerosités du mouvement. Enattestsang.jpg effet, ce dernier interdisit les vaccinations et supprima toutes les fêtes, afin de couper les fidèles des membres de leurs familles : Noël, les anniversaires, la fête des mères, sont depuis totalement proscrits. Et quiconque ne suit pas fidèlement ces consignes risque l'exclusion de la secte et la peine de mort, infligée par Dieu lui-même ! En 1945, un autre Président de l'entreprise, Nathan Knorr, va jusqu'à interdire la transfusion de sang. Cette interdiction de soin est également toujours en vigueur aujourd'hui. Et les témoins de Jéhovah qui meurent parce qu'ils ont refusé une transfusion sont présentés en exemples, à la manière de kamikazes au nom de Dieu.

Retrouvez l'histoire complète du mouvement, dans le livre Histoire Insolite et Secrète des Témoins de Jéhovah (disponible ici).


Témoignage : 25 ans chez les témoins de Jéhovah

Je suis né en 1975. Mes parents ont commencé à fréquenter des témoins de Jéhovah cette année-là. En 1976, ils le devinrent à part entière et le sont toujours aujourd'hui. Ma soeur, née en 1974,téléchargement (20).jpg et moi avons donc été éduqués selon les "valeurs" du mouvement : aucune fête, aucun anniversaire, aucun ami en dehors de la secte, interdiction de regarder les Schtroumpf ou d'écouter Michaël Jackson, les Rolling Stones, les Beatles ou du RAP, interdiction d'avoir un béguin... La jupe devait obligatoirement descendre en-dessous du genou, la casquette être portée à l'endroit, le jean ne pouvait pas avoir le moindre trou, tout était soumis à des interdictions, des Pokémons à la consommation de saucisses à la cantine, en passant par le vote des délégués de classe ou les posters de stars de la chanson ou du sport... Tout cela était strictement interdit, sous peine d'être tué par Dieu. Ces règles, rédigées par une douzaine de gourous au niveau mondial, s'ajoutaient à d'autres nationales et encore à des interdictions et obligations locales. Elles étaient strictes et les contraintes énormes pour les épaulesimages (23).jpg d'un enfant. Cela a amené à de nombreuses dérives. Par contre, nous allions 3 fois par semaine dans la salle de culte, écoutant pendant 5 heures hebdomadaires des sermonts obligatoires et assistions chaque année à la seule fête autorisée, l'anniversaire de la mort de Jésus. Deux heures de discours sans rire, sans joie, pour "méditer" sur la mort du Christ, où du pain et du vin passaient de main en main, sans que personne n'ait le droit d'en consommer. Lugubre.

Le week-end, c'était le porte-à-porte, pour faire de nouveaux adeptes, dès mes premiers mois d'existence, avec mon père ou ma mère. Je me souviens encore de la première fois où j'ai du parler à un inconnu. J'avais 6 ans et j'étais avec mon père. Il m'a poussé vers la porte, un journal jéhoviste à la main. La porte s'est ouverte et j'ai bégayé un texte appris par coeur à un homme, qui a hurlé à mon père que c'était honteux d'utiliser ainsi des enfants pour faire du prosélytisme. Moi, je ne comprenais pas ce qui se passait et j'ai gardé en moi ce souvenir impérissable. Un article d'une des publications étudiées dans la secte avait expliqué que l'on pouvait frapper ses pieds au sol lorsque l'on avait fini le porte-à-porte. 250px-Miami-Children.JPGC'était une façon de dire que nous avions fait notre travail, c'est-à-dire chercher de nouveaux adeptes, et que les personnes qui n'avaient pas accepté de devenir jéhovistes, on s'en moquait. On "secouait la poussière", signifiant que Dieu pouvait les détruire, ça ne nous regardait pas : on avait fait notre job. Pire, on s'en réjouissait. Quelqu'un qui nous envoyait balader ? "C'est pas grave, il va mourir." Cet état d'esprit, cette haine de tous les humains ormis les membres de la secte, je l'ai développée comme tous.

A l'âge de 10 ans, j'ai pris la parole en public. Comme partout à travers le monde les témoins de Jéhovah sont en effet formés semaine après semaine pour parler publiquement, en vue de faire de nouveaux adeptes. A 10 ans donc, je me retrouvaisimages (26).jpg sur une estrade, face à une cinquantaine de personnes, la Bible jéhoviste ouverte et le texte écrit par mon père devant moi. Cet exercice devint coutumier pour moi, puisqu'au-moins une fois par mois pendant 15 ans je montais ainsi sur une estrade, faisant face à plusieurs dizaines de personnes, récitant par coeur des textes écrits dans les livres de la société.

Vers 10 ans toujours, j'ai reçu mon premier cours de sexualité avec mon père. En fait, armé d'un livre imprimé par la société, mon père m'a juste indiqué que "le sexe avant le mariage est interdit." Et il m'a lu un texte expliquant que le fait de se masturber est également interdit. Pire, la masturbation rend homosexuel. Et l'homosexualité est passible de la peine de mort. A ma question "c'est quoi la masturbation ?", il a juste répondu "c'est le fait de se toucher le sexe". Et il m'a laissé seul en me demandant de prier Dieu. Quand on a 9 ou 10 ans, on ne sait pas forcément ce que signifient ses propos, ce qu'est "se toucher le sexe". Et si je devais prier Dieu, c'est que certainement j'avais du faire quelque chose de mal. Mais quoi ? La sexualité étant un véritable tabou chez les témoins de Jéhovah, je n'en ai rien appris de plus avec mes parents.

téléchargement (21).jpgEn grandissant, je devins comme mes parents un adepte farouche, convaincu que tout le monde allait bientôt mourir, sauf moi et mes "amis" jéhovistes. Nous, nous vivrions éternellement sur la terre transformée en paradis ! Je revois d'ailleurs encore ma mère, enfant, me dire "ne t'en fais pas, Jéhovah aura intervenu avant que tu n'aies l'âge d'aller au collège". Plus tard, cela se transforma en "ne t'en fais pas, la fin du monde aura eu lieu avant que tu n'aies le service militaire"... Avec cette conception des choses, inutile de se faire un avenir : de toute façon, Dieu allait tout détruire demain. J'ai ainsi connu de nombreux jeunes adultes, que nous invitions à la maison, qui nous expliquaient qu'ils ne voulaient pas de conjoint ou d'enfant, car leur priorité était la prédication. "On aura le temps après Harmaguédon (la fin du monde), me disaient-ils, récitant ainsi ce que disait l'organe officiel de la secte, La Tour de Garde. Aujourd'hui encore certains d'entre eux sont seuls, attendant inlassablement un évènement qui ne viendra pas.

Vers 17, 18 ans, j'ai été baptisé dans la secte. A compter de ce jour, ma mère ne pouvait plus "enseigner publiquement" devant moi ni faire une prière en ma présence. Sinon elle devait se couvrir la tête. J'étais devenu un "frère" et les femmes étant inférieures aux hommes ces tâches étaient maintenant mon rôle.

La vie chez les témoins de Jéhovah n'est pas de tout repos ni équilibrée, comme vous le voyez. Mais cela ne s'arrête pas là, malheureusement.

Battre ses enfants est essentiel. L'un des cantiques chanté par toute la famille lors des réunions jéhovistes parle des enfants et les définit comme "un bel héritage". Il poursuit en disant, mot pour mot :Sans titre.png "Dieu qui fait ces dons [les enfants] dit 'use du bâton'." (note de février 2016 : Le cantique a été supprimé du dernier livre de chants du mouvement) Les journaux du mouvements faisaient également l'apologie de la fessée et des coups, comme les illustrations qui en sont issues le démontrent. Mes premiers coups de "bâton" furent très jeune. Je me souviens encore du martinet qui trônait dans le séjour, mes parents clamant en nous fouettant "c'est pour ton bien". J'étais enfant lorsque mon père fit d'ailleurs une tournée à travers les diverses congrégations de la région pour parler pendant 45 minutes du thème "Comment éduquer d'une bonne manière ses enfants". Semaine après semaine, je l'entendais ainsi, du haut de l'estrade et à un public d'une centaine de personnes souvent, expliquer livre en main qu'il faut frapper ses enfants. "C'est un commandement de Dieu", disait-il. 150px-TG_1963.jpgAprès le martinet, il utilisa un bâton puis sa ceinture en cuir. côté boucle le plus souvent. Pour tout et n'importe quoi. Par exemple, j'avais l'obligation chaque semaine de lire les livres de la société. Un jour, je m'étais enfermé dans ma chambre, soit-disant pour lire comme j'y étais contraint le journal officiel de la secte, La Tour de Garde. Ma mère est entrée brusquement, alors que j'étais parti dans la lecture d'une bande-dessinée Lucky Luke. Elle m'arracha du lit, me mit deux claques fortes sur le visage, me fit descendre les escaliers en me tirant par le bras, me présenta à mon père qui lui était dans sa lecture de livres "religieux". Je le vis enlever sa ceinture en cuir et reçus ce jour-là de multiples coups. Des anecdotes telle celle-ci, j'en ai malheureusement de nombreuses à évoquer. Tel est le quotidien d'un enfant de témoins de Jéhovah éduqué correctement selon les principes de la secte.

Vers mes 10 ans, je fus également opéré d'un pied à Dieppe. Une opération bénigne, qui ne nécessitait que quelques jours d'hospitalisation. Arrivé à l'hôpital, je vis arriver deux gouroux locaux, qui se font appeler les "anciens". Avec mon père, ils me contraignirent à signer, allongé dans mon lit, un document attestant que je refusais la transfusion de sang. Aux ordres de mon père, j'étais prêt à mourir plutôt que d'accepter une simple transfusion. A cette époque, mon père était membre du prestigieux "Comité de Liaison smiley-default-img.jpgHospitalier", organe d'"anciens" qui allait ainsi faire signer à tous ceux qui subissaient une opération un tel document. Il était en effet connu à travers la région comme un fidèle jéhoviste et servait d'exemple à bien des adeptes. Concernant le refus du sang, j'avais perpétuellement sur moi, comme tous les adeptes quel que soit leur âge, une carte éditée par la société indiquant que je refusais totalement la transfusion.

Avec ma femme, nous avons quitté la secte en 2001. Cette année-là, un jeune adepte de 21 ans, Rémi, devait avoir une transfusion de sang pour survivre. A son chevet, son père, un non-témoin de Jéhovah, l'avait incité à accepter la transfusion. Rémi a porté plainte contre son père car son dernier ne souhaitait pas respecter son choix. Ce fut sa dernière action, puisqu'il mourrut en quelques heures. Quant il m'en parla, mon père exultait devant la "bravoure" du jeune homme. "Il a été courageux", disait-il... "J'aimerai avoir autant de courage que lui."

En 2001, j'ai reçu rapidement après le départ de la secte un appel de ma soeur. Au téléphone, elle m'indiqua que nous nous reverrions pas, tant que je ne serais pas redevenu témoin de Jéhovah. Depuis 15 ans donc, je suis "mort" pour elle, comme elle le dit elle-même. Elle fut toute mon enfance ma meilleure amie.

La dernière fois que j'ai croisé mon père, qui sert toujours de modèle dans sa congrégation de Bolbec, c'était il y a 6 ans, sur le parking du CHU de Rouen. En me voyant, ce dernier a foncé vers moi et m'a menacé. Le connaissant, je l'ai repoussé avant qu'il n'ait eu le temps de me donner un 'coup de boule'. Ancien karatéka, il a pris tout son élan et m'a frappé violemment. Je m'en suis sorti avec des hématomes aux jambes et aux bras. Convoqué par la gendarmerie, il a reconnu les faits. Le Juge, lui, a estimé que cela ne méritait pas un jugement... Je sais toutefois que cet homme, reconnu par tous les jéhovistes comme un exemple à suivre, recommencera dès que possible. Même si j'ai quarante ans.

Ma femme a également sa mère, son frère et sa soeur dans la secte. Ces derniers l'ont également rejetée. Sa mère lui a expliqué qu'elle ne souhaitait plus avoir le moindre contact avec elle, parce qu'elle n'est plus témoin de Jéhovah. Ce processus est obligé par la secte à tous ses adeptes. Et ils obéissent, par peur de représailles.

Vous le voyez, les dangers de cette secte sont multiples. Je souhaite que ce témoignage serve à tous pour vous préserver de ce mouvement, qui se fait passer pour une religion. Chez les témoins de Jéhovah, j'ai aussi cotoyé des escrocs, des pervers, des drogués, des alcooliques, des pédophiles... Tous ne le sont pas et dans les faits une majorité d'entre eux ignorent les faits rapportés ici. Mais sous des couverts de "religion" aux membres honnètes, bien sur eux, se cache une réalité que je ne souhaite à personne.

images (25).jpgEn 2012, la société des témoins de Jéhovah a été condamnée par la Justice américaine à verser 28 millions de dollars pour avoir caché des actes pédophiles sur plusieurs enfants, dont Candace Conti (photo - voir détails de l'affaire ici). Une bouchée de pain pour cette entreprise multimilliardaire, qui se place parmi les plus gros chiffres d'affaires de New York et qui a des parts dans de multiples entreprises. Savez-vous par exemple qu'elle a possédé des parts dans le capital d'une entreprise américaine qui construit des moteurs pour les avions de guerre ?

En savoir plus :

Du même auteur : Histoire Insolite Et Secrète des Témoins de Jéhovah.

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04/02/2016

Le projet pour 2020 du quartier Danton au Havre

le havre, lh, quartier danton, dantonLa concertation entre la Ville du Havre et les habitants aboutit à un équipement public mettant en avant le sport, le social, la culture et un lieu de détente familiale : un jardin public.

Edouard Philippe, maire du Havre, le détaille en vidéo :


Danton : un nouvel équipement public à l... par mairie-lehavre

Écrit par Alexandre Cauchois | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | |

Musées gratuits au Havre samedi 6 février 2016

JeVisAuHavre.fr - Sortir au Havre


Samedi 6 février, comme tous les premiers samedis du mois, les musées havrais sont gratuits.

418440353.jpgA découvrir donc :

- Le musée André Malraux - 2 boulevard Clémenceau

- La maison de l'Armateur - quai de l'Ile

- Le prieuré de Graville - rue du Prieuré

- L'Espace André Graillot - chaussée Kennedy

- L'appartement témoin - 1 place de l'Hôtel de Ville

- L'Hôtel Dubocage (ancien Musée de l'Ancien Havre) - 1 rue Jérôme Bellarmarto

 - Le Museum d'Histoire Naturelle, place du Vieux Marché


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Écrit par Alexandre Cauchois | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | |

01/02/2016

Le Pole Dance, belle tendance au Havre !

Véritable discipline sportive, le Pole Dance, ou danse à la barre, trouve son public havrais.

1422586_10207157754095933_5408125983565315162_n.jpgSorti des clubs de striptease où le pole dance a connu un engouement à partir des années 50, il trouve dorénavant ses lettres de noblesse, avec des artistes qui exécutent des figures acrobatiques qui conjuguent sport et esthétisme. Un art où excellent tout autant les femmes que les hommes, même s'ils restent encore minoritaires.

Ainsi, au Havre, il est possible de prendre des cours de pole dance. Julie, de son pseudo "Chou", propose depuis quelques mois un apprentissage pour tous, quels que soient votre âge, votre morphologie ou votre niveau sportif. Au programme : échauffement, souplesse et figures techniques. Cela se passe au choix en cours collectifs ou privés. Une idée de cadeau originale, par exemple, pour la Saint-Valentin ! (Informations supplémentaires sur le site Choupoledance.)

Côté tenues, il n'est pas besoin d'aller bien loin : à Octeville-sur-Mer se trouve Nadège, créatrice et styliste de la première entreprise française productrice de tenues adaptées au Pole Dance, Nao Polewear.

Vidéo : entraînement de Chou, la professeur havraise.

Photo : Chou, pour Nao Polewear, Magic Mirrors, décembre 2015.

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30/01/2016

Le Havre à l'honneur, lundi soir sur France 3

Lundi 1er février 2016, France 3 Normandie propose de visionner le documentaire "Le rêve d'une culture partagée".

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Au Havre, l’histoire commence dans un musée. Elle se poursuit au Théâtre de l’Hôtel de Ville, puis au désormais célèbre Volcan imaginé par Oscar Niemeyer.

Durant cinq décennies de création et de diffusion culturelle, les directeurs successifs ont toujours gardé en ligne de mire l’ambition du ministre du Général de Gaulle de décentraliser la culture et la rendre accessible au plus grand nombre, en se rapprochant notamment, dans cette cité portuaire, des ouvriers : interventions dans les usines en mai 68, pétitions pour obtenir le financement du projet Niemeyer, concerts de rues populaires et grandioses, spectacles modernes et innovants…

"Le rêve d’une culture partagée", de Laurent Mathieu et Christian Clères, raconte comment des hommes et des femmes ont gagné, grâce à leur obstination et leur volonté, le droit pour chacun de profiter des œuvres de l’esprit.

Une histoire passionnante, racontée par les acteurs de chaque époque et illustrée d’images souvent inédites. Une histoire qui nous concerne tous, tant la culture est inscrite aujourd’hui dans notre quotidien.

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25/01/2016

Caroline, c'est fini... Le démantèlement est terminé.

C'est en images que nous vous proposons un dernier "Adieu" à l'ultime navire amarré dans le bassin du Commerce du Havre.

L'ancien Bar à huitres a été sorti de l'eau vendredi dernier, après avoir été allégé au maximum. Sa coque a ainsi ce jour pu être démembrée totalement. Dans les heures à venir, il ne restera plus rien de ce bateau, qui a vécu dans ce bassin des périodes bien tumultueuses. Une page d'histoire se tourne...

Images prises aujourd'hui lundi 25 janvier, par Jean-Paul Moutier. Avec son aimable autorisation.

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18/01/2016

Il permet aux patrons d'hôtel de partir en vacances

Le Havrais Philippe Brébant met son savoir au service des hôteliers.

image004.jpgBonCapServices a été lancé il y a maintenant un peu plus d'un an. Fort de son expérience de trente ans dans l'hôtellerie-restauration, le quinquagénaire Philippe Brébant porte haut et fort son activité, indispensable pour des entrepreneurs qui, généralement, sont présents en permanence et sans répis dans leur hôtel. « Je me mets à la disposition des propriétaires-exploitants de petites structures, que ce soit des hôtels-restaurants ou hôtels bureau ». Son objectif : leur offrir une bouffée d'oxygène, à la demande.

« Ma présence leur permet de boucler les plannings ou d'éviter une perte d'activité. Même pendant la période creuse, la fermeture d'un établissement impacte le chiffre d'affaires et pénalise la fidélisation. La clientèle ne peut pas se contenter d'un simple message sur répondeur. Prendre des vacances et ainsi fermer l'établissement s'avère généralement un mauvais calcul. Certains mettent leur personnel en vacances mais restent disponibles pour répondre aux mails et au téléphone ; finalement ils ne décrochent jamais », ajoute Philippe Brébant.

« Pendant la période estivale, en juillet et août, je suis particulièrement sollicité. Les hôteliers me confient leurs clefs pour prendre un peu de vacances. » La durée des missions oscille entre un et dix jours. Les démarches liées à l'embauche sont simplifiées à l'extrême, ce qui constitue pour les deux parties un atout supplémentaire.

Le bilan, un an après le lancement, dévoile une activité en de nombreux établissement, tout à la fois sur Dreux, Le Havre, Yvetot, Le Mans, Dieppe, Saint-Mère-l'Eglise et bientôt Rouen. Autant de références dont il tire une certaine fierté et qui s'ajoutent à un parcours déjà fourni dans le métier.

Son atout : le savoir-faire

« Le bouche-à-oreille fonctionne relativement bien dans la profession. Les professionnels savent que j'apporte ce que les clients recherchent. Ainsi sur Le Havre, où je vis, outre le remplacement à la demande, les hôteliers peuvent également bénéficier de ma part d'une mission de conseil, souvent liée au domaine commercial, comme faire connaître leur établissement à l'extérieur et découvrir de nouveaux clients potentiels. Ainsi dans le même ordre d'idée, la demande se fait par exemple sur la relecture du site internet de l'établissement et notamment sur la partie en anglais ».

Philippe Brébant propose ainsi aux hôteliers de la Porte Océane des missions journalières en réception et des actions commerciales ciblées et travaillées au préalable avec le responsable de l'établissement. Les missions extérieures en dehors du Havre, voir dans d'autres régions, peuvent être d'un weekend ou de plusieurs jours.

Si vous êtes hôtelier et souhaitez prendre quelques jours pour vous, contactez BonCapServices au 06 22 43 10 61. Il se fera un plaisir de vous expliquer en détails ses services et disponibilités. Rendez-vous également sur son site Internet : BonCapServices.com.

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16/01/2016

Descendez la tour de l'Hôtel de Ville en rappel ce week-end

3362053714.jpgAmateur d'escalade ou de sensations fortes ?

Voyez la ville de haut et marchez sur les murs : la Ville du Havre propose de descendre en rappel le long de la tour de l'Hôtel de Ville, soit 70 mètres.

Ouverte à tous dès 7 ans, la descente permet de faire un don à l'Association Française contre les Myopathies. Prévoyez donc 8 euro pour la bonne cause.

Rendez-vous ce samedi 16 de 10h00 à 18h00 et dimanche 17 janvier de 10h00 à 17h00.

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