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16/02/2016

Témoignage : Prenez garde aux Témoins de Jéhovah !

Les témoins de Jéhovah sont-ils vraiment des personnes gentilles, comme ils le laissent paraître ?

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(Alors que les témoins de Jéhovah arpentent les rues en vue d'inviter les Havrais à leur "mémorial" qui aura lieu le 23 mars, nous jugeons utile de vous proposer à la lecture cet article déjà publié en mai 2013 et en mars 2015.)

Vous les retrouvez attendant le client devant l'Université ou aux portes des marchés, un présentoir empli de journaux mettant en scène la violence, les guerres, la drogue, bref, tous les sujets angoissants imaginables. Ils sont d'ailleurs, selon les chiffres donnés par les Témoins de Jéhovah eux-même, plus de 165 000 avec ces présentoirs. On les trouve ainsi, devant cet étal stressant, parfois souriants, souvent bien tristes. Ils sont dans tous les cas prêts à vous "donner" un de leurs textes. Mais pourquoi sont-ils là ? D'où vient ce mouvement ? Et comment vit-on chez les témoins de Jéhovah ? Voici quelques-unes des questions que va aborder cet article.


220px-Photodrama_of_creation.jpgLes témoins de Jéhovah sont nés aux Etats-Unis, sous la main d'un businessman Américain rodé aux créations d'entreprises, Charles Taze Russell. Il fonde ainsi une société d'édition dédiée aux ouvrages religieux, qu'il rédige lui-même en s'auto-proclammant "Pasteur Russell", en collaboration parfois avec une autre plume. Le succès ne se fait pas attendre, puisque dans les premières années l'un de ses livres se vend en 1 400 000 exemplaires. L'argent coule à flots et s'ensuivent plusieurs procès, l'accusant de détourner de l'argent. En 1911, il est condamné également pour escroquerie, pour la vente d'un blé soit-disant "miraculeux", vendu aux fidèles 60 fois le prix normal du blé. Charles Taze Russell cultive une seconde passion, les femmes, ce qui le mènera à son divorce. L'homme, qui compte parmi ses autres vices le racisme, est pourtant considéré par un nombre de plus en plus important de fidèles comme le canal utilisé par Dieu pour parler aux humains. Ils sont ainsi 13 000 en 1914.

1914 est par ailleurs l'année de la première prophétie pour les témoins de Jéhovah. Dieu devait en effet tuer tous ceux qui n'étaient pas membres de leur mouvement cette année-là. Comme la fin du monde n'a pas eu lieu, il fut inventé avec le temps d'autres dates : 1918 pour la fin du monde, puis 1925 pour la résurrection de prophètes comme Moïse, Abraham et David, 1975 à nouveau pour la fin du monde... Leur dernière prophétie indique que des personnes nées avant 1914 verraient la mort de tous ceux qui ne pratiquaient pas leur culte. Ce besoin morbide de "fin du monde" les classe dans les sectes millénaristes.

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Lorsque le fondateur des témoins de Jéhovah décède, l'un des avocats de l'entreprise, Joseph Franklin Rutherford, fomente un véritable putsch pour prendre la direction. Ce dernier se donne le titre de "Juge" et remplace à la tête de la société plusieurs des membres d'administration. Il invente lui aussi plusieurs prophéties, dont la destruction des religions en 1918 ou l'anarchie mondiale en 1920. Menant des actions musclées contre les autres religions, il purgea avec d'autres membres 10 mois de prison en 1918-1919. Vivant dans un luxe démesuré, il était également connu pour ses excès d'alcool.

Sans titre.pngEn 1933, les témoins de Jéhovah américains et allemands ont fait parvenir à Adolf Hitler un courrier que l'historien James Penton qualifie d'ouvertement "antisémite", qui commence par "Très Cher Chancelier du Reich" et indique que leur entreprise partage les idéaux d'Hitler. En effet, la filiale allemande de l'entreprise était la plus prospère et l'Allemagne nazie souhaitait les interdire et procéder à la saisie de leurs biens. Ils devaient donc absolument trouver une solution pour poursuivre leurs activités et la main tendue à Adolf Hitler fut la stratégie mise en place. Le leader allemand les fit tout de même interdire pendant la seconde guerre mondiale.

Les témoins de Jéhovah, secte dangereuse

C'est à Joseph Franklin Rutherford que l'on doit les premières réelles dangerosités du mouvement. Enattestsang.jpg effet, ce dernier interdisit les vaccinations et supprima toutes les fêtes, afin de couper les fidèles des membres de leurs familles : Noël, les anniversaires, la fête des mères, sont depuis totalement proscrits. Et quiconque ne suit pas fidèlement ces consignes risque l'exclusion de la secte et la peine de mort, infligée par Dieu lui-même ! En 1945, un autre Président de l'entreprise, Nathan Knorr, va jusqu'à interdire la transfusion de sang. Cette interdiction de soin est également toujours en vigueur aujourd'hui. Et les témoins de Jéhovah qui meurent parce qu'ils ont refusé une transfusion sont présentés en exemples, à la manière de kamikazes au nom de Dieu.

Retrouvez l'histoire complète du mouvement, dans le livre Histoire Insolite et Secrète des Témoins de Jéhovah (disponible ici).


Témoignage : 25 ans chez les témoins de Jéhovah

Je suis né en 1975. Mes parents ont commencé à fréquenter des témoins de Jéhovah cette année-là. En 1976, ils le devinrent à part entière et le sont toujours aujourd'hui. Ma soeur, née en 1974,téléchargement (20).jpg et moi avons donc été éduqués selon les "valeurs" du mouvement : aucune fête, aucun anniversaire, aucun ami en dehors de la secte, interdiction de regarder les Schtroumpf ou d'écouter Michaël Jackson, les Rolling Stones, les Beatles ou du RAP, interdiction d'avoir un béguin... La jupe devait obligatoirement descendre en-dessous du genou, la casquette être portée à l'endroit, le jean ne pouvait pas avoir le moindre trou, tout était soumis à des interdictions, des Pokémons à la consommation de saucisses à la cantine, en passant par le vote des délégués de classe ou les posters de stars de la chanson ou du sport... Tout cela était strictement interdit, sous peine d'être tué par Dieu. Ces règles, rédigées par une douzaine de gourous au niveau mondial, s'ajoutaient à d'autres nationales et encore à des interdictions et obligations locales. Elles étaient strictes et les contraintes énormes pour les épaulesimages (23).jpg d'un enfant. Cela a amené à de nombreuses dérives. Par contre, nous allions 3 fois par semaine dans la salle de culte, écoutant pendant 5 heures hebdomadaires des sermonts obligatoires et assistions chaque année à la seule fête autorisée, l'anniversaire de la mort de Jésus. Deux heures de discours sans rire, sans joie, pour "méditer" sur la mort du Christ, où du pain et du vin passaient de main en main, sans que personne n'ait le droit d'en consommer. Lugubre.

Le week-end, c'était le porte-à-porte, pour faire de nouveaux adeptes, dès mes premiers mois d'existence, avec mon père ou ma mère. Je me souviens encore de la première fois où j'ai du parler à un inconnu. J'avais 6 ans et j'étais avec mon père. Il m'a poussé vers la porte, un journal jéhoviste à la main. La porte s'est ouverte et j'ai bégayé un texte appris par coeur à un homme, qui a hurlé à mon père que c'était honteux d'utiliser ainsi des enfants pour faire du prosélytisme. Moi, je ne comprenais pas ce qui se passait et j'ai gardé en moi ce souvenir impérissable. Un article d'une des publications étudiées dans la secte avait expliqué que l'on pouvait frapper ses pieds au sol lorsque l'on avait fini le porte-à-porte. 250px-Miami-Children.JPGC'était une façon de dire que nous avions fait notre travail, c'est-à-dire chercher de nouveaux adeptes, et que les personnes qui n'avaient pas accepté de devenir jéhovistes, on s'en moquait. On "secouait la poussière", signifiant que Dieu pouvait les détruire, ça ne nous regardait pas : on avait fait notre job. Pire, on s'en réjouissait. Quelqu'un qui nous envoyait balader ? "C'est pas grave, il va mourir." Cet état d'esprit, cette haine de tous les humains ormis les membres de la secte, je l'ai développée comme tous.

A l'âge de 10 ans, j'ai pris la parole en public. Comme partout à travers le monde les témoins de Jéhovah sont en effet formés semaine après semaine pour parler publiquement, en vue de faire de nouveaux adeptes. A 10 ans donc, je me retrouvaisimages (26).jpg sur une estrade, face à une cinquantaine de personnes, la Bible jéhoviste ouverte et le texte écrit par mon père devant moi. Cet exercice devint coutumier pour moi, puisqu'au-moins une fois par mois pendant 15 ans je montais ainsi sur une estrade, faisant face à plusieurs dizaines de personnes, récitant par coeur des textes écrits dans les livres de la société.

Vers 10 ans toujours, j'ai reçu mon premier cours de sexualité avec mon père. En fait, armé d'un livre imprimé par la société, mon père m'a juste indiqué que "le sexe avant le mariage est interdit." Et il m'a lu un texte expliquant que le fait de se masturber est également interdit. Pire, la masturbation rend homosexuel. Et l'homosexualité est passible de la peine de mort. A ma question "c'est quoi la masturbation ?", il a juste répondu "c'est le fait de se toucher le sexe". Et il m'a laissé seul en me demandant de prier Dieu. Quand on a 9 ou 10 ans, on ne sait pas forcément ce que signifient ses propos, ce qu'est "se toucher le sexe". Et si je devais prier Dieu, c'est que certainement j'avais du faire quelque chose de mal. Mais quoi ? La sexualité étant un véritable tabou chez les témoins de Jéhovah, je n'en ai rien appris de plus avec mes parents.

téléchargement (21).jpgEn grandissant, je devins comme mes parents un adepte farouche, convaincu que tout le monde allait bientôt mourir, sauf moi et mes "amis" jéhovistes. Nous, nous vivrions éternellement sur la terre transformée en paradis ! Je revois d'ailleurs encore ma mère, enfant, me dire "ne t'en fais pas, Jéhovah aura intervenu avant que tu n'aies l'âge d'aller au collège". Plus tard, cela se transforma en "ne t'en fais pas, la fin du monde aura eu lieu avant que tu n'aies le service militaire"... Avec cette conception des choses, inutile de se faire un avenir : de toute façon, Dieu allait tout détruire demain. J'ai ainsi connu de nombreux jeunes adultes, que nous invitions à la maison, qui nous expliquaient qu'ils ne voulaient pas de conjoint ou d'enfant, car leur priorité était la prédication. "On aura le temps après Harmaguédon (la fin du monde), me disaient-ils, récitant ainsi ce que disait l'organe officiel de la secte, La Tour de Garde. Aujourd'hui encore certains d'entre eux sont seuls, attendant inlassablement un évènement qui ne viendra pas.

Vers 17, 18 ans, j'ai été baptisé dans la secte. A compter de ce jour, ma mère ne pouvait plus "enseigner publiquement" devant moi ni faire une prière en ma présence. Sinon elle devait se couvrir la tête. J'étais devenu un "frère" et les femmes étant inférieures aux hommes ces tâches étaient maintenant mon rôle.

La vie chez les témoins de Jéhovah n'est pas de tout repos ni équilibrée, comme vous le voyez. Mais cela ne s'arrête pas là, malheureusement.

Battre ses enfants est essentiel. L'un des cantiques chanté par toute la famille lors des réunions jéhovistes parle des enfants et les définit comme "un bel héritage". Il poursuit en disant, mot pour mot :Sans titre.png "Dieu qui fait ces dons [les enfants] dit 'use du bâton'." (note de février 2016 : Le cantique a été supprimé du dernier livre de chants du mouvement) Les journaux du mouvements faisaient également l'apologie de la fessée et des coups, comme les illustrations qui en sont issues le démontrent. Mes premiers coups de "bâton" furent très jeune. Je me souviens encore du martinet qui trônait dans le séjour, mes parents clamant en nous fouettant "c'est pour ton bien". J'étais enfant lorsque mon père fit d'ailleurs une tournée à travers les diverses congrégations de la région pour parler pendant 45 minutes du thème "Comment éduquer d'une bonne manière ses enfants". Semaine après semaine, je l'entendais ainsi, du haut de l'estrade et à un public d'une centaine de personnes souvent, expliquer livre en main qu'il faut frapper ses enfants. "C'est un commandement de Dieu", disait-il. 150px-TG_1963.jpgAprès le martinet, il utilisa un bâton puis sa ceinture en cuir. côté boucle le plus souvent. Pour tout et n'importe quoi. Par exemple, j'avais l'obligation chaque semaine de lire les livres de la société. Un jour, je m'étais enfermé dans ma chambre, soit-disant pour lire comme j'y étais contraint le journal officiel de la secte, La Tour de Garde. Ma mère est entrée brusquement, alors que j'étais parti dans la lecture d'une bande-dessinée Lucky Luke. Elle m'arracha du lit, me mit deux claques fortes sur le visage, me fit descendre les escaliers en me tirant par le bras, me présenta à mon père qui lui était dans sa lecture de livres "religieux". Je le vis enlever sa ceinture en cuir et reçus ce jour-là de multiples coups. Des anecdotes telle celle-ci, j'en ai malheureusement de nombreuses à évoquer. Tel est le quotidien d'un enfant de témoins de Jéhovah éduqué correctement selon les principes de la secte.

Vers mes 10 ans, je fus également opéré d'un pied à Dieppe. Une opération bénigne, qui ne nécessitait que quelques jours d'hospitalisation. Arrivé à l'hôpital, je vis arriver deux gouroux locaux, qui se font appeler les "anciens". Avec mon père, ils me contraignirent à signer, allongé dans mon lit, un document attestant que je refusais la transfusion de sang. Aux ordres de mon père, j'étais prêt à mourir plutôt que d'accepter une simple transfusion. A cette époque, mon père était membre du prestigieux "Comité de Liaison smiley-default-img.jpgHospitalier", organe d'"anciens" qui allait ainsi faire signer à tous ceux qui subissaient une opération un tel document. Il était en effet connu à travers la région comme un fidèle jéhoviste et servait d'exemple à bien des adeptes. Concernant le refus du sang, j'avais perpétuellement sur moi, comme tous les adeptes quel que soit leur âge, une carte éditée par la société indiquant que je refusais totalement la transfusion.

Avec ma femme, nous avons quitté la secte en 2001. Cette année-là, un jeune adepte de 21 ans, Rémi, devait avoir une transfusion de sang pour survivre. A son chevet, son père, un non-témoin de Jéhovah, l'avait incité à accepter la transfusion. Rémi a porté plainte contre son père car son dernier ne souhaitait pas respecter son choix. Ce fut sa dernière action, puisqu'il mourrut en quelques heures. Quant il m'en parla, mon père exultait devant la "bravoure" du jeune homme. "Il a été courageux", disait-il... "J'aimerai avoir autant de courage que lui."

En 2001, j'ai reçu rapidement après le départ de la secte un appel de ma soeur. Au téléphone, elle m'indiqua que nous nous reverrions pas, tant que je ne serais pas redevenu témoin de Jéhovah. Depuis 15 ans donc, je suis "mort" pour elle, comme elle le dit elle-même. Elle fut toute mon enfance ma meilleure amie.

La dernière fois que j'ai croisé mon père, qui sert toujours de modèle dans sa congrégation de Bolbec, c'était il y a 6 ans, sur le parking du CHU de Rouen. En me voyant, ce dernier a foncé vers moi et m'a menacé. Le connaissant, je l'ai repoussé avant qu'il n'ait eu le temps de me donner un 'coup de boule'. Ancien karatéka, il a pris tout son élan et m'a frappé violemment. Je m'en suis sorti avec des hématomes aux jambes et aux bras. Convoqué par la gendarmerie, il a reconnu les faits. Le Juge, lui, a estimé que cela ne méritait pas un jugement... Je sais toutefois que cet homme, reconnu par tous les jéhovistes comme un exemple à suivre, recommencera dès que possible. Même si j'ai quarante ans.

Ma femme a également sa mère, son frère et sa soeur dans la secte. Ces derniers l'ont également rejetée. Sa mère lui a expliqué qu'elle ne souhaitait plus avoir le moindre contact avec elle, parce qu'elle n'est plus témoin de Jéhovah. Ce processus est obligé par la secte à tous ses adeptes. Et ils obéissent, par peur de représailles.

Vous le voyez, les dangers de cette secte sont multiples. Je souhaite que ce témoignage serve à tous pour vous préserver de ce mouvement, qui se fait passer pour une religion. Chez les témoins de Jéhovah, j'ai aussi cotoyé des escrocs, des pervers, des drogués, des alcooliques, des pédophiles... Tous ne le sont pas et dans les faits une majorité d'entre eux ignorent les faits rapportés ici. Mais sous des couverts de "religion" aux membres honnètes, bien sur eux, se cache une réalité que je ne souhaite à personne.

images (25).jpgEn 2012, la société des témoins de Jéhovah a été condamnée par la Justice américaine à verser 28 millions de dollars pour avoir caché des actes pédophiles sur plusieurs enfants, dont Candace Conti (photo - voir détails de l'affaire ici). Une bouchée de pain pour cette entreprise multimilliardaire, qui se place parmi les plus gros chiffres d'affaires de New York et qui a des parts dans de multiples entreprises. Savez-vous par exemple qu'elle a possédé des parts dans le capital d'une entreprise américaine qui construit des moteurs pour les avions de guerre ?

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Du même auteur : Histoire Insolite Et Secrète des Témoins de Jéhovah.

Écrit par Alexandre Cauchois | Lien permanent | Commentaires (2) | |  Facebook | | |

Commentaires

Vos commentaires sont vide de sens! Vous avez des problèmes. Vous avez des comptes à rendre à Jehovah tant que vous ne vous reconciliez pas avec lui. Vous jugez les gens sans raisonner. Tu as un bon départ dans la vérité mais une fin désastreuse avec ta femme qui était dans la vérité. Les préscriptions et les normes bibliques restent bénéfiques à ceux qui les appliquent dans leur vie.
Changez c'est mon message si non vous allez regrettez à votre dernier souffle d'avoir bani Jéhovah. Merci

Écrit par : martin | 18/10/2016

Martin,
Merci pour votre message haineux, me promettant une mort parce que je ne pense pas comme vous.
Je suis sincèrement désolé que vous souteniez une entreprise qui prenne tant soin des pédophiles, qui fasse tuer sans raison ses fidèles en leur refusant des soins, qui soit assez conne pour faire des promesses qu'elle ne tient jamais... Quant à votre ami imaginaire, il est comme vous : il ne m'impressionne guère !
Alors, bon vent, Martin ! Par contre, je serai enchanté de vous aider à vous sortir de cette secte, le jour où vous réaliserez que vous vous faites gruger...

Écrit par : Alexandre | 18/10/2016

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