Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

03/10/2016

Etudiant à l'ENSM du Havre et porteur d'un beau projet

Le magazine Capital met à l'honneur ce mois-ci Simon Bernard, étudiant de l'ENSM.

8520.pngIl fait la Une du magazine papier d'octobre 2016, comme "Graine de Patron". Félicitations à lui, dont le projet a déjà conquis rien de moins que le ministère de l'Environnement !

"Pas encore 25 ans , toujours étudiants, et déjà ils nous disent si nos aliments sont contaminés, aident les pompiers à mieux travailler, innovent dans le droit, la musique ou la gastronomie.

SIMON BERNARD ENSM LE HAVRE

Son pitch «Mes fruits et légumes sont-ils contaminés ?» On pourra bientôt le savoir grâce à Scan EAT, un scanner infrarouge de poche relié à une appli installée sur smartphone et mesurant en temps réel le taux de pesticides des aliments. Soutenu par le ministère de l’Environnement, Simon a obtenu une bourse et neuf mois dans un incubateur pour peaufiner son projet."

Écrit par Alexandre Cauchois | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | |

07/06/2010

Pollution au Havre : le bilan

Le magazine Capital de juin 2010 titre "Pollution : les villes où elle diminue, les villes où elle s'aggrave". Etat des lieux pour Le Havre.

capital juin 2010.jpgDans cet important dossier (25 pages) dédié aux pollutions, plusieurs critères sont évalués : la qualité de l'air, l'état des fleuves, la pureté de l'eau et la propreté des plages.

Le magazine révèle qu'en ce qui concerne la pollution de l'air, "en 2009, pour la première fois depuis que la raffinerie Total et la pétrochimie se sont installées dans la zone industrielle, les rejets d'oxyde de soufre respectent les normes européennes. La pollution liée à l'activité portuaire est aussi en baisse."

Concernant l'état de la Seine, le résultat est bien moins satisfaisant. En effet, "les laboratoires de l'université ont relevé la présence d'une pollution résistante au pyralène, un composant entrant dans les appareils électriques, autrefois déversé par les industries dans l'estuaire. Autre surprise inquiétante : les gardons et autres poissons deviennent hermaphrodites, peut-être à cause des résidus contraceptifs que les stations d'épuration ne parviennent pas à retenir."

Enfin, concernant la pureté de l'eau, les prévèlements réalisés en 2009 révèlent une moyenne de 36 mg de nitrates par litre d'eau potable ; un résultat en deçà de la limite fixée par l'Union Européenne (50mg/l), mais qui place Le Havre en troisième ville où les quantités de nitrates sont particulièrement élevées, derrière Caen (41 mg/l) et Reims (36,5 mg/l).

Écrit par Alexandre Cauchois | Lien permanent | Commentaires (2) | |  Facebook | | |