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18/03/2009

L'accueil des marins au Havre débattu ce soir

Patrick Teissere.JPGLe Groupe de la Majorité Municipale du Havre s'intéresse à l'accueil des marins du Havre.

Ce soir mercredi 18 mars,à 18h30, Patrick Teissère, conseiller municipal, anime une rencontre sur ce thème, à la Tarverne Karlsbraü, place de l'Hôtel de Ville.

Parmi les invités, Roger Guillou, Président de l'Association Havraise d'Accueil des Marins "Seamen's Club" et Jean-Pierre Bellec, du pilotage Le Havre - Fécamp.

Tous les deux mois la majorité de droite havraise organise un débat tel celui-ci, nommé "Teissère et café !", depuis près d'un an.

Photo : Patrick Teissère, mars 2006.

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La CCI du Havre soutient le plan de la raffinerie Total

Gérard Roussel, Directeur de la raffinerie Total et Président de la Commission des risques industriels à la CCI du Havre, soutient le projet du groupe pétrolier.

Il rappelle que la France est de plus en plus consommatrice de gazole, ce qui exige une dépense de 700 millions d'euros pour l'aménagement de la raffinerie. Ces travaux réalisés, la capacité de raffinage passera de 16 à 12 millions de tonnes et la production de gazole progressera d'un demi-million de tonnes par an.

Selon ses calculs, "il n'y aura personne dehors. Tout le monde sera reclassé sur le site et il n'y aura aucun licenciement." Il affirme par ailleur qu'il y aura "la création de mille emplois chez nos fournisseurs pendant la durée du plan. Je suis d'ailleurs sidéré que personne ne prenne en compte l'ensemble de ces éléments."

Le Président de la CCI du Havre, Vianney de Chalus, soutient quant à lui que le plan de Total est "une très bonne nouvelle pour la région". "Il n'y aura pas de licenciements et les investissements vont générer au moins 3,45 millions d'heures de travail chez les sous-traitants, soit 200 emplois dès 2009, 800 en 2010 et 1000 en 2011".

Source.

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L'Uni dénonce la "radicalisation" de la grève estudiantine

tract uni 2.jpgLe mouvement étudiant en cours à l’université du Havre a encore franchi un pas vers la radicalisation lors de l’Assemblée Générale des étudiants du vendredi 13 Mars.

Selon le responsable de l'Uni au Havre, John Villion, "sur proposition d’enseignants, l’Assemblée Générale a voté une motion de soutien aux personnes qui ont été interpellées à la suite du dernier conseil municipal havrais pour avoir insulté, menacé, et agressé les élus avec des jets d’œufs."

L'Uni soutient qu'en agissant ainsi "les meneurs du mouvement étudiant dévoilent leur vrai visage et leur sympathie pour les actions extrémistes et mettent ainsi en exergue le peu de considération qu’ils ont pour la démocratie ! L’UNI LE HAVRE déplore que cette minorité d’extrémistes, qui n’est absolument pas représentative, contribue à dégrader l’image et la réputation de l’université du Havre."

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1er Festival normand du film d'entreprise

usines en bord de Seine.JPG La première édition du Festival normand du film d'entreprise va naître dans le quartier de l'Eure.

Son nom : FestiVaLeurE". Ce festival va projeter des courts-métrages sur les entreprises du Havre, réalisés par des collégiens, lycéens et des associations de jeunes. Des prix seront décernés aux oeuvres produites, dont l'un portera le nom de l'un des plus ilustres journalistes havrais, Daniel Fleury.

Le programme :

- Mercredi 1er avril,  projection sur la façade des Ets Caillard, place Léon Carlier, d’un film sur cette entreprise.

- jeudi 2 et vendredi 3 avril, les réalisations des jeunes et des documentaires (French Lines, Musée Maritime et Portuaire du Havre, etc) seront projetés à l’ISEL, avant la proclamation des résultats qui donnera lieu à un hommage à Daniel Fleury, le vendredi 3 en soirée.

Plus d'informations en ligne...

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La grève s'intensifie à l'université du Havre

Les étudiants de Licence en Sciences Humaines et Sociales du Havre entrent en grève.

Communiqué des étudiants : "Nous, la majorité des étudiants de Licence 3 en Sciences Humaines et Sociales, avons décidé le mardi 17 mars 2009 de nous déclarer grévistes jusqu'à mercredi 18 mars 2009. La reconduction de la grève aura lieu en fonction des décisions prises lors de l’Assemblée Générale, qui aura lieu mercredi également. Cette décision a été prise pour protester face aux nombreuses réformes du gouvernement, ainsi que pour soutenir les promotions de Lettres, qui sont en grève depuis maintenant 3 semaines.
Cette grève a été votée pour souligner les décisions déjà prises en Assemblée Générale, les promotions de Lettres et Sciences Humaines étant les plus menacées par les réformes en cours.

Nos revendications sont les suivantes :
Le retrait de la réforme de la formation et des concours de recrutement des enseignants du primaire et du secondaire dite de la « masterisation »
Le retrait du projet de décret sur le statut des enseignants-chercheurs.
L'abandon des suppressions de postes à l’Université du Havre
La création d’une allocation étudiante
Le retrait du projet de contrat doctoral
Le non-fléchage des moyens financiers (au détriment des IUT)
La cessation de la restriction des budgets
Nous sollicitons la compréhension des professeurs quant au respect de notre grève et nous espérons, grâce ce mouvement pouvoir mobiliser le plus grand nombre et invitons les autres promotions à ce mettre elles aussi en grève."

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Basket : Les haut-normands font leurs adieux à la Coupe de France

spo rouen basket.jpgst thomas basket le havre.jpgCa ne les passionne pas et on s'en rend bien compte.

 La Coupe de France n'est définitivement pas une priorité pour les clubs de basket haut-normands. Les deux seuls clubs en lice, Rouen et Le Havre, qui luttent intensément pour conserver leur place en Pro A, ont tous deux perdu en huitième de finale de la Coupe de France, hier soir.

Le Havre a ainsi pris une bonne dérouillée, administrée par Besançon (par 94 à 68) et Rouen a chutté face au Mans (par 71 à 62). Ces deux défaites devraient permettre aux clubs normands de se concentrer exclusivement sur la Pro A. Rappelons que dans le classement général de la Pro A Rouen et Le Havre ont 29 points, soient 3 de plus que le dernier de classement...

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La raffinerie Total de Gonfreville-l'Orcher bloquée

total.JPGDepuis ce matin à 05h00, l'accès à la raffinerie Total de Gonfreville l'Orcher est bloqué.

L'usine tourne au ralenti, les salariés ayant décidé à une large majorité de faire une action coup de poing aujourd'hui, à la veille de la grande grève du 19 mars.

Christian Vott, délégué CGT, explique que "cette grève de 24 heures avant le mouvement national de jeudi est destiné à se démarquer de façon significative pour faire entendre le désarroi des salariés de Total et de toute la région du Havre, durement touchée par les suppressions d'emplois".

Les grévistes dénoncent les 268 suppressions de postes prévues d'ici 2012 au Havre, sur les 555 annoncées la semaine dernière par la direction de Total. "Les salariés rejettent cette restructuration. Après la réunion du dernier conseil d'entreprise, rien n'a évolué. Les salariés veulent continuer leur lutte pour sauver les emplois, ajoute le délégué CGT. Quand Total fait 13,9 milliards de bénéfices en 2008 et qu'il décide la suppression de centaines d'emplois dans la région, c'est tout simplement inacceptable. C'est scandaleux".

Source. Photo : Salariés Total, grève du 19 janvier 2009.

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17/03/2009

Un texte soutenu par Daniel Fidelin fait débat au PS de Montivilliers

Une loi, soumise à l'Assemblée Nationale par 92 députés UMP, permettrait à l'Etat de garantir des prêts consentis par les banques aux étudiants.

Une fois les études terminées et un premier emploi trouvé, l'étudiant commencerait à rembourser le prêt. Un texte qui semble favorable aux étudiants.

Mais la section du Parti Socialiste de Montivilliers n'est pas de cet avis. Et met en avant le fait que Daniel Fidelin est l'un des signataires du texte. "Sous prétexte de favoriser l’octroi de prêts pour les étudiants, il s’agit en réalité de permettre une hausse brutale et de grande ampleur des droits d’inscriptions à l’université." Pour le parti de gauche, il s'agit d'un "discours faux-cul : le système actuel ne favorise pas la démocratisation de l’enseignement supérieur. Pire, c’est sa gratuité (relative, rassurons les députés qui croient vivre dans un pays où faire des études ne coûte pas alors que près de la moitié des étudiants font des petits ou gros boulots) qui serait responsable de son élitisme social. Conclusion : pour démocratiser l’enseignement supérieur, il faut que les étudiant s’endettent massivement. Ceux qui y voient une relation avec le financement public des universités publiques sont-ils des gauchistes invertébrés ?"

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Les adhérents à l'UMP votent pour leur chef de file aux régionales de 2010

La démocratie à la mode UMP, c'est la possibilité offerte à tous les adhérents de voter... pour l'unique candidat en lice.

Cela devient une habitude : pour la Présidentielle, Michèle Alliot-Marie et Dominique de Villepin avaient été invités à se faire oublier. Le choix du candidat à l'élection était donc facile pour les adhérents du premier parti de France : Nicolas Sarkozy ou... Nicolas Sarkozy.

La formule semble avoir bien pris en Haute-Normandie, puisqu'actuellement et jusqu'à dimanche 22 mars les cotisants peuvent voter pour leur candidat préféré, celui qui sera la tête de liste aux élections régionales de 2010. Le choix offert est simple pour notre région : Bruno Le Maire ou... Bruno Le Maire (député de l'Eure et secrétaire d'Etat en charge des affaires européennes).

Cette forme de démocratie toute particulière est également en cours dans d'autres régions, rassurez-vous : en Bretagne, en Champagne-Ardennes, en Franche-Comté, en Aquitaine, dans le Limousin, en Lorraine, dans les Pays de Loire, en Picardie et dans le Poitou-Charentes. Soit donc dans la majorité des régions de France.

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Le Mémorial de Caen prêt pour le 20ème anniversaire de la chute du mur de Berlin

Né un an avant la chute du mur de Berlin, le Mémorial de Caen a retrouvé une forme impressionnante.

Ouvert en juin 1988 afin de rappeler au visiteur l'histoire du XXème Siècle et d'assurer la mémoire des conflits récents, le Mémorial de Caen a vu sa fréquentation augmenter de belle façon en 2008, au point que c'est aujourd'hui le 1er musée français hors région parisienne, avec en moyenne 400 000 visiteurs par an. Une belle réussite, à la veille du 20ème anniversaire de la chute du mur de Berlin !

Il y a trois ans la pérennité du site était loin d'être assurée. Stéphane Grimaldi nommé Directeur, un vaste plan d'action accompagné d'un programme d'économies strict et un investissement massif (près d'un million d'euros, dont la moitié pour la ville de Caen) ont permis le redressement du Mémorial.

L'investissement continue cette année, avec des moments forts :

- l'exposition"Entre guerre et paix" jusqu'au 29 mars ;

- le 1er concours de plaidoiries pour les droits de l'homme en Palestine, le 31 mai ;

- le 65ème anniversaire du Débarquement de Normandie ;

- l'exposition "Cartooning for peace, à compter d'octobre ;

- l'exposition "Survivre", de juin à décembre ;

- et bien entendu des moments mémorables pour le 20ème anniversaire de la chute du mur de Berlin.

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L'université du Havre plus en lutte que jamais

che cgt cfdt.JPGLa crise ne semble pas pouvoir se résoudre rapidement à l'université du Havre.

Le programme des étudiants "en lutte" pour les deux prochains jours est particulièrement chargé en colère :

- mercredi 18 mars, cours "Hors les murs" de Catherine Hoffman ; à 10h00, "Université le grand soir" ; à 13h00, assemblée générale de l'établissement ;

- jeudi 19 mars, à 09h30, manifestation interprofessionnelle ; à 14h00, assemblée générale Education ; à 16h00, assemblée générale interprofessionnelle.

Nicolas Guillet, Maître de conférences en droit public à l’université du Havre a fait une déclaration sur le blog des "étudiants et personnels de l'université du Havre en lutte" :

"Après avoir fait croire que la communauté universitaire était satisfaite par le « nouveau » projet de statut des enseignants-chercheurs (E.C), après avoir joué la carte de « l’expérimentation » de la réforme de la formation des maîtres, le Gouvernement manie désormais le bâton et cherche à mâter, par la sanction financière, le mouvement universitaire qui dure depuis plus de deux mois.

Comment s’y prend-il ? Il y a peu, il a envoyé une note aux Présidents d’université pour faire appliquer des retenues sur le traitement des E.C. pour « service non fait », au motif qu’ils n’avaient pas délivré leurs notes aux étudiants. Maintenant, il demande aux mêmes Présidents d’appliquer la même règle, mais cette fois en raison des cours non assurés. De prime abord, la demande semble légitime dans la mesure où le principe même de la grève implique un sacrifice pour celles et ceux qui la font.

En réalité, le Gouvernement, ayant déjà corseté l’exercice du droit de grève dans les transports publics, puis essayé de faire échec aux grèves dans l’éducation nationale par l’organisation d’un service minimum d’accueil des élèves, cherche à désolidariser les Français de la lutte universitaire : il prétexte implicitement que l’absence de retenue sur le traitement en cas de non respect des obligations de service serait non seulement juridiquement inacceptable mais surtout moralement inadmissible. Il révèle par là-même ce qui le gêne profondément : la tradition pluriséculaire sur laquelle s’appuient les universitaires, la liberté dont ils jouissent, leur caractère incontrôlable (à la fois statutairement et idéologiquement), l’obstacle qu’ils forment à une extension de la marchandisation de la société. En ce sens, le mouvement universitaire actuel constitue un enjeu de société crucial.

Toutefois, cette tentative, tout comme les précédentes, échouera. En effet, le Gouvernement oublie que les E.C. sont annualisés et que le décompte de leurs heures de service assurées ou non ne peut être effectué qu’à la fin de l’année universitaire. Les retenues sur le traitement ne pourraient être envisagées qu’à ce moment. De même, il fait semblant d’ignorer que, dans bon nombre d’universités, les E.C. ont d’ores et déjà assuré l’intégralité de leur service puisque le sous-encadrement structurel les conduit à assumer des charges d’enseignement bien largement supérieures à leurs obligations statutaires. Par conséquent, si des retenues devaient être opérées, elles ne pourraient porter que sur les heures complémentaires. Enfin, le Gouvernement feint encore d’ignorer que le sens des responsabilités des E.C. à l’égard des usagers de l’université – les étudiants – les conduira très probablement à décaler le second semestre de l’année universitaire. Ils pourraient donc rattraper bon nombre des enseignements non assurés, voire leur totalité, comme lorsque le Gouvernement avait précipité les étudiants dans la rue avec ses projets du CPE (contrat première embauche) puis de la LRU (libertés et responsabilités des universités) et conduit au blocage de très nombreuses universités.

Ces tentatives du Gouvernement révèlent une volonté non seulement de mise au pas des E.C. mais aussi de refus de discuter des postulats de ses projets. Sauf qu’à mépriser les E.C., il prend la lourde responsabilité d’un pourrissement irrémédiable de la situation. Il pousse à la radicalisation du mouvement universitaire dont les revendications ne cessent de s’élargir, la LRU elle-même étant désormais visée. Il met également en danger le Président de la République qui, malgré l’irritation que lui inspire ce mouvement et dont la presse s’est fait l’écho, n’a pas été suivi par les ministres en charge de l’enseignement. Non conscient de la défiance qui s’intensifie de jour en jour à son égard, le Gouvernement cherche petitement à affaiblir un mouvement. Il n’a pas compris que le temps joue contre lui."

Photo : manifestation du 29 janvier 2009, devant le Franklin Building, Le Havre.

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Stationnement payant au Havre : les dernières touches sont faites

stationnement payant au Havre.JPGL'installation au Havre des quelques 140 nouveaux parcmètres était terminée avant la date butoir du 1er mars 2009.

Aucune indication ne signalait d'ailleurs que le stationnement était toujours gratuit, ce qui a permis aux machines à sous municipales de commencer à travailler pour le plus grand bonheur de la mairie.

La totalité des rues dorénavant payantes ont reçu la mention légale "payant" ; les procés verbaux commencent à pousser sur des rues historiquement fleuries uniquement par les excréments d'oiseaux et de chiens.

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L'artisanat en crise à la Chambre de Métiers de Seine-Maritime

La Chambre de Métiers et de l'Artisanat de Seine-Maritime est-elle mal gérée ?

C'est en tout cas ce que clame la liste Artisans de Notre Avenir, qui y siégeait depuis 2005. Cette liste, qui comprend une vingtaine de membres élus, vient de déposer sa démission. Le motif invoqué est grave : de "très nombreux dysfonctionnements constatés dans la gouvernance de la chambre depuis plus de deux ans. Nous refusons de cautionner une situation qui ne fait qu'empirer au détriment du service et de la représentativité dus aux artisans de notre département".

Cette décision fait suite à la demande de démission du bureau et de son président, qui avait été réclamée par la liste en novembre 2008. Didier Brard, Président de la Chambre de Métiers et de l'Artisanat, regrette cette décision, en soulignant que "ce n'est pas en faisant la politique de la chaise vide qu'on fait avancer les choses". Il rappelle par ailleurs qu'il a proposé sa place suite à la demande de la liste Artisans de Notre Avenir, mais que personne n'en a voulu.

Le budget de fonctionnement ayant été voté en novembre dernier, la Chambre de Métiers et de l'Artisanat peut heureusement continuer son activité dans notre Département, sans que la démission d'une vingtaine d'élus n'ait une trop grave conséquence.

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16/03/2009

L'appel unitaire havrais pour la grève générale du 19 mars 2009

manif 4.JPGLa CGT, la FSU, Solidaires, FO, la CFTC, l'UNSA, la CFE CGC, la CFDT, l'UNL, l'UNEF, la FIDL, le PRG, NPA, le PCF, le PS, le Parti de Gauche, les Verts, l'ASETHI, ATTAC, AC!, la CNL, ADEVA76, FCPE, la LDH, Vivats, ABAC, le Mouvement de la Paix et Sauvons la santé : tels sont les signataires de l'appel à la grève générale du 19 mars, au Havre.

Les cheminots se rassembleront dès 09h00 à la salle Duponchel du CER et rejoindront l'ensemble des manifestants à 09h30 devant Franklin. L'après-midi, un débat, "Les conditions de la reconduction" aura lieu à 16h00, à Franklin.

Lire le tract signé par les syndicats et partis politiques. Photo jevisauhavre.com, grève du 29 janvier 2009.

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La Semaine sans pesticides

semaine_sans_pesticides_2009.jpgDu 20 au 30 mars 2009 a lieu dans plusieurs pays la Semaine sans pesticides. Une initiative suivie en Seine-Maritime par les associations Eco-Choix et CPN Hérissons-nous.

Au menu, théâtre de rue, stand et distribution d'un jeu de l'oie nommé "pouah les pesticides", financé par Nature et Découvertes, Marché Bio et Eco-Choix.

A découvrir :

- le 2 avril, au marché de Montivilliers, de 10h00 à 12h00 ;

- le 7 avril, au marché de Montivilliers, de 16h30 à 18h00 ;

- le 18 avril, au marché de Saint Romain de Colbosc, de 10h00 à 12h00 ;

- le 17 mai, à la fête des jardins de Saint Gilles de la Neuville, de 10h00 à 17h00.

Plus d'informations auprès d'Alain Cantais, au 02 35 20 19 57.

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