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17/03/2009

L'université du Havre plus en lutte que jamais

che cgt cfdt.JPGLa crise ne semble pas pouvoir se résoudre rapidement à l'université du Havre.

Le programme des étudiants "en lutte" pour les deux prochains jours est particulièrement chargé en colère :

- mercredi 18 mars, cours "Hors les murs" de Catherine Hoffman ; à 10h00, "Université le grand soir" ; à 13h00, assemblée générale de l'établissement ;

- jeudi 19 mars, à 09h30, manifestation interprofessionnelle ; à 14h00, assemblée générale Education ; à 16h00, assemblée générale interprofessionnelle.

Nicolas Guillet, Maître de conférences en droit public à l’université du Havre a fait une déclaration sur le blog des "étudiants et personnels de l'université du Havre en lutte" :

"Après avoir fait croire que la communauté universitaire était satisfaite par le « nouveau » projet de statut des enseignants-chercheurs (E.C), après avoir joué la carte de « l’expérimentation » de la réforme de la formation des maîtres, le Gouvernement manie désormais le bâton et cherche à mâter, par la sanction financière, le mouvement universitaire qui dure depuis plus de deux mois.

Comment s’y prend-il ? Il y a peu, il a envoyé une note aux Présidents d’université pour faire appliquer des retenues sur le traitement des E.C. pour « service non fait », au motif qu’ils n’avaient pas délivré leurs notes aux étudiants. Maintenant, il demande aux mêmes Présidents d’appliquer la même règle, mais cette fois en raison des cours non assurés. De prime abord, la demande semble légitime dans la mesure où le principe même de la grève implique un sacrifice pour celles et ceux qui la font.

En réalité, le Gouvernement, ayant déjà corseté l’exercice du droit de grève dans les transports publics, puis essayé de faire échec aux grèves dans l’éducation nationale par l’organisation d’un service minimum d’accueil des élèves, cherche à désolidariser les Français de la lutte universitaire : il prétexte implicitement que l’absence de retenue sur le traitement en cas de non respect des obligations de service serait non seulement juridiquement inacceptable mais surtout moralement inadmissible. Il révèle par là-même ce qui le gêne profondément : la tradition pluriséculaire sur laquelle s’appuient les universitaires, la liberté dont ils jouissent, leur caractère incontrôlable (à la fois statutairement et idéologiquement), l’obstacle qu’ils forment à une extension de la marchandisation de la société. En ce sens, le mouvement universitaire actuel constitue un enjeu de société crucial.

Toutefois, cette tentative, tout comme les précédentes, échouera. En effet, le Gouvernement oublie que les E.C. sont annualisés et que le décompte de leurs heures de service assurées ou non ne peut être effectué qu’à la fin de l’année universitaire. Les retenues sur le traitement ne pourraient être envisagées qu’à ce moment. De même, il fait semblant d’ignorer que, dans bon nombre d’universités, les E.C. ont d’ores et déjà assuré l’intégralité de leur service puisque le sous-encadrement structurel les conduit à assumer des charges d’enseignement bien largement supérieures à leurs obligations statutaires. Par conséquent, si des retenues devaient être opérées, elles ne pourraient porter que sur les heures complémentaires. Enfin, le Gouvernement feint encore d’ignorer que le sens des responsabilités des E.C. à l’égard des usagers de l’université – les étudiants – les conduira très probablement à décaler le second semestre de l’année universitaire. Ils pourraient donc rattraper bon nombre des enseignements non assurés, voire leur totalité, comme lorsque le Gouvernement avait précipité les étudiants dans la rue avec ses projets du CPE (contrat première embauche) puis de la LRU (libertés et responsabilités des universités) et conduit au blocage de très nombreuses universités.

Ces tentatives du Gouvernement révèlent une volonté non seulement de mise au pas des E.C. mais aussi de refus de discuter des postulats de ses projets. Sauf qu’à mépriser les E.C., il prend la lourde responsabilité d’un pourrissement irrémédiable de la situation. Il pousse à la radicalisation du mouvement universitaire dont les revendications ne cessent de s’élargir, la LRU elle-même étant désormais visée. Il met également en danger le Président de la République qui, malgré l’irritation que lui inspire ce mouvement et dont la presse s’est fait l’écho, n’a pas été suivi par les ministres en charge de l’enseignement. Non conscient de la défiance qui s’intensifie de jour en jour à son égard, le Gouvernement cherche petitement à affaiblir un mouvement. Il n’a pas compris que le temps joue contre lui."

Photo : manifestation du 29 janvier 2009, devant le Franklin Building, Le Havre.

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Stationnement payant au Havre : les dernières touches sont faites

stationnement payant au Havre.JPGL'installation au Havre des quelques 140 nouveaux parcmètres était terminée avant la date butoir du 1er mars 2009.

Aucune indication ne signalait d'ailleurs que le stationnement était toujours gratuit, ce qui a permis aux machines à sous municipales de commencer à travailler pour le plus grand bonheur de la mairie.

La totalité des rues dorénavant payantes ont reçu la mention légale "payant" ; les procés verbaux commencent à pousser sur des rues historiquement fleuries uniquement par les excréments d'oiseaux et de chiens.

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L'artisanat en crise à la Chambre de Métiers de Seine-Maritime

La Chambre de Métiers et de l'Artisanat de Seine-Maritime est-elle mal gérée ?

C'est en tout cas ce que clame la liste Artisans de Notre Avenir, qui y siégeait depuis 2005. Cette liste, qui comprend une vingtaine de membres élus, vient de déposer sa démission. Le motif invoqué est grave : de "très nombreux dysfonctionnements constatés dans la gouvernance de la chambre depuis plus de deux ans. Nous refusons de cautionner une situation qui ne fait qu'empirer au détriment du service et de la représentativité dus aux artisans de notre département".

Cette décision fait suite à la demande de démission du bureau et de son président, qui avait été réclamée par la liste en novembre 2008. Didier Brard, Président de la Chambre de Métiers et de l'Artisanat, regrette cette décision, en soulignant que "ce n'est pas en faisant la politique de la chaise vide qu'on fait avancer les choses". Il rappelle par ailleurs qu'il a proposé sa place suite à la demande de la liste Artisans de Notre Avenir, mais que personne n'en a voulu.

Le budget de fonctionnement ayant été voté en novembre dernier, la Chambre de Métiers et de l'Artisanat peut heureusement continuer son activité dans notre Département, sans que la démission d'une vingtaine d'élus n'ait une trop grave conséquence.

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16/03/2009

L'appel unitaire havrais pour la grève générale du 19 mars 2009

manif 4.JPGLa CGT, la FSU, Solidaires, FO, la CFTC, l'UNSA, la CFE CGC, la CFDT, l'UNL, l'UNEF, la FIDL, le PRG, NPA, le PCF, le PS, le Parti de Gauche, les Verts, l'ASETHI, ATTAC, AC!, la CNL, ADEVA76, FCPE, la LDH, Vivats, ABAC, le Mouvement de la Paix et Sauvons la santé : tels sont les signataires de l'appel à la grève générale du 19 mars, au Havre.

Les cheminots se rassembleront dès 09h00 à la salle Duponchel du CER et rejoindront l'ensemble des manifestants à 09h30 devant Franklin. L'après-midi, un débat, "Les conditions de la reconduction" aura lieu à 16h00, à Franklin.

Lire le tract signé par les syndicats et partis politiques. Photo jevisauhavre.com, grève du 29 janvier 2009.

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La Semaine sans pesticides

semaine_sans_pesticides_2009.jpgDu 20 au 30 mars 2009 a lieu dans plusieurs pays la Semaine sans pesticides. Une initiative suivie en Seine-Maritime par les associations Eco-Choix et CPN Hérissons-nous.

Au menu, théâtre de rue, stand et distribution d'un jeu de l'oie nommé "pouah les pesticides", financé par Nature et Découvertes, Marché Bio et Eco-Choix.

A découvrir :

- le 2 avril, au marché de Montivilliers, de 10h00 à 12h00 ;

- le 7 avril, au marché de Montivilliers, de 16h30 à 18h00 ;

- le 18 avril, au marché de Saint Romain de Colbosc, de 10h00 à 12h00 ;

- le 17 mai, à la fête des jardins de Saint Gilles de la Neuville, de 10h00 à 17h00.

Plus d'informations auprès d'Alain Cantais, au 02 35 20 19 57.

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Dixi* sort son premier album

album dixi.jpgDixi* crêve les planches et s'installe définitivement sur la scène locale.

"La vie passe"... Tel est le nom du premier album de l'un des groupes havrais les plus talentueux, Dixi*. Le groupe de trentenaires, qui s'était déjà illustré entre-autre sur l'esplanade de l'Hôtel de Ville du Havre à la fête de la musique l'année dernière, compose des morceaux de musique pop rock en français.

Le groupe se produit par ailleurs le 17 mars à 16h30 au Pasino du Havre.

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Une rixe entre voisins tourne au drame

rue Haudry Le Havre.JPGUn homme d'une soixante d'années est décédé suite à une rixe avec l'un de ses voisins.

Samedi dernier deux voisins du même immeuble se sont battus, à l'heure du midi, rue Handry, dans le quartier Danton. Le plus âgé des deux s'est écroulé sur le trottoir. L'homme soupçonné d'homicide, âgé quant à lui d'une quarantaine d'années, a été immédiatement arrêté. L'autopsie a démontré que la mort n'est pas dûe à un choc subi, mais les conséquences d'un état existant avant la rixe.

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Frey Méthanergy s'implante sur la zone portuaire du Havre.

Le magazine L'Usine Nouvelle révèle que la branche spécialisée dans la valorisation du biogaz du groupe Frey Nouvelles Energies (développeur, investisseur d'électricité à partir de sources d'énergies renouvelables) va s'implanter dans la zone portuaire du Havre.

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15/03/2009

Les socialistes veulent des états généraux de l'emploi et le remboursement des aides à Total

Des états généraux de l'emploi. « Et en urgence ! »

laurent logiou.JPGC'est ce que réclament les élus et les responsables havrais du parti socialiste. Dans un contexte marqué par une succession de « mauvaises nouvelles », la dernière en date étant les quelque 400 suppressions de postes chez Total en région havraise, le PS en appelle aux dirigeants de la Ville et de l'agglomération, au premier rang desquels le président de la communauté de l'agglomération havraise (Codah), Antoine Rufenacht. « L'emploi est la préoccupation principale des Havrais, estime Laurent Logiou. Or, ajoute-t-il, nous avons la sensation que le maire laisse passer les choses, qu'il fait la politique de l'autruche en attendant que le vent passe ».
Face à ce qu'il juge être « une léthargie béate », le PS veut dupliquer localement des propositions nationales qui n'ont pas trouvé écho. C'est le cas des aides publiques notamment que le PS veut conditionner. « Le Département n'a rien donné à Total depuis que nous sommes majoritaires », souligne Gérard Heuzé, conseiller général. « La Codah aide les entreprises, note Laurent Logiou. Or, quand elles gagnent de l'argent et se livrent, comme Total aujourd'hui, à des destructions d'emplois, il faut exiger que ces aides soient remboursées. »

48 millions d'euros d'aides des collectivités
Des aides publiques ? Le 16 décembre 2003, Total, alors en pleine préparation de son projet de construction de l'unité DHC - un investissement de l'ordre de 530
millions d'euros destiné à produire davantage de gazole - avait sollicité une aide de la Codah à hauteur de 30,7 millions d'euros. A l'époque, la décision avait été acceptée à trente-huit voix pour et neuf contre. Une semaine auparavant, c'est la Région, présidée par Alain Le Vern (PS), qui avait accordé une subvention de 4,5 millions d'euros. Le Département, quant à lui, avait apporté 12,8 millions d'euros au projet par une délibération du 17 novembre 2003, sous la présidence de Charles Revet (UMP).
Aujourd'hui, face aux investissements annoncés par Total (un milliard d'euros, dont 770 millions pour la raffinerie), les élus PS se montrent circonspects. Et Gérard Heuzé estime qu'Antoine Rufenacht doute lui aussi. « Sinon, dit-il, il n'aurait pas demandé un rendez-vous au patron de Total pour avoir des garanties. »

Source : Le Havre Libre. Photo d'archives mars 2008, campagne des municipales menée par Laurent Logiou.

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Foot : Valenciennes - Le Havre : la vidéo

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Résultats sportifs du Havre - foot et basket

D'abord le basket, avec une nouvelle réussite face à Gravelines, par 92 à 80 (24-20, 10-26, 34-14, 24-20).

Les arbitres étaient MM. Koog, Jeanneau et Lepercq.

Statistiques concernant  Le Havre:
32 paniers (dont 9 sur 19 à trois points) sur 62 tirs - 19 lancers francs sur 26 tentés - 43 rebonds - 22 passes décisives - 17 balles perdues - 20 fautes personnelles. Causeur (10), Merriex (7), Thompson (24), Slaughter (16), Laing (16), Jomby (4), Duport (10), Strong (5).

Statistiques concernant Gravelines:
31 paniers (dont 5 sur 22 à trois points) sur 66 tirs - 13 lancers francs sur 23 tentés - 26 rebonds - 22 passes décisives - 11 balles perdues - 24 fautes personnelles - 1 joueur sorti: Freeman. Edwards (10), Carter (14), Bokolo (12), Akpomedah (4), Stanley (6), Freeman (15), Skinn (13), McClintock (6).

Ensuite le football, avec encore un échec du HAC à Valenciennes, par 3 à 2.

C'est la vingtième défaite de l'équipe havraise, sur 28 match. Un bilan qui la place dans les abysses de la Ligue 1. La relégation est désormais inéluctable.

Quelques informations sur ce match :

Buts : Saez (40e), Lacourt (75e), Audel (92e) pour Valenciennes - Franquart (24e), Anin (80e) pour Le Havre

Le nul semblait assuré à quelques secondes du sifflet final, lorsque Sambou commet l'erreur irréparable, gardant au pied un ballon qui n'attendait que d'atterrir en touche. Valenciennes se fait un plaisir d'en profiter, sous la forme d'Audel, qui lui prend la balle et permet la victoire de son équipe. Le HAC a pourtant montré de belles qualités dans ce match, tendu jusqu'à la dernière minute.

Les réactions :

Jean-Pierre Louvel, le président du HAC, a piqué une grosse colère : "Sur le troisième but, on n'a pas le droit de lâcher, on doit mettre le ballon en corner ! C'est inadmissible à ce niveau-là. En face, il y a des combattants. Et nous, on pense encore à jouer. Il ne reste rien à jouer, ça fait 2-2. Ce n'est pas tolérable ! Nous avons une équipe qui n'est pas assez compétitive au haut niveau. On ne l'est pas dans la tête, dans le jeu. Celui-là, je ne suis pas près de le digérer".

Antoine Kombouaré, l'entraîneur de Valenciennes, a déclaré que Le Havre était la "bête noire" de son équipe. "La victoire est importante parce que ça montre que tant qu'on se bagarre, tant qu'on ne lâche rien, il y a une récompense, on peut retourner les situations. La confiance et la réussite sont de notre côté, à l'image du dernier but à la 92e. Cette réussite, on est allé la chercher. Maintenant il faut garder les pieds sur terre, ne pas s'enflammer."

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14/03/2009

François Fillon à la rescousse de Total

Après Antoine Rufenacht, c'est au tour du Premier ministre de soutenir le plan de l'entreprise Total.

Alfred_francois.jpgTotal, qui a réalisé un excellent exercice en 2008, avec 14 Milliards d'euros de bénéfice, a annoncé cette semaine près de 400 suppressions de postes dans l'agglomération havraise, a fait réagir assez violemment l'ensemble de la classe politique. Laurent Wauquiez, secrétaire d'Etat à l'emploi, était par exemple "scandalisé" par ce projet. Et peu de voix s'étaient élevées favorablement à ce plan, calamiteux au premier abord pour l'emploi. La surprise était venue du côté de la mairie du Havre, Antoine Rufenacht soutenant l'entreprise.

 François Fillon va maintenant dans le même sens que le président de la CODAH (Communauté d'agglomération du Havre). Il juge que les mesures ont "été annoncées assez maladroitement, il faut le dire, par la direction de Total. Qu'est-ce que je constate ? Qu'il n'y a aucun licenciement, que Total va créer plus d'emplois qu'il n'en supprime en France, que Total va investir en 2009 en France". Total fait d'ailleurs parti des entreprises qui "assument pleinement leurs responsabilités sociales".

Il place le gouvernement en première ligne, soulignant que "le gouvernement sera très attentif à ce que ces engagements soient tenus" et explique le plan de destruction d'emploi, assurant qu'il est "normal qu'une entreprise s'adapte, qu'elle veuille produire moins d'essence parce qu'on a besoin de moins d'essence, plus de diesel parce qu'on a besoin de plus de diesel."

Photo : François Fillon avec Alfred Trassy-Paillogues, député-maire d'Yerville. Archive septembre 2006. Copyright Jevisauhavre.com.

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13/03/2009

Malgré la grève, la "journée portes ouvertes" est maintenue à l'université

Le président de l'université du Havre, Camille Galap, a obtenu la levée de la grève pour la journée "portes ouvertes" du 14 mars.

Le communiqué à l'intention de ses collègues disait en substance qu'une "réunion s'est déroulée ce jour, à mon initiative, entre l'équipe présidentielle, les directeurs de composante et le comité de grève. Cette réunion a eu pour vocation d'aborder la question de la journée "Portes ouvertes" du 14 mars. J'ai exprimé ma volonté qu'elle soit maintenue et qu'elle se déroule dans des conditions idéales dans l'intérêt de l'établissement et des futurs étudiants."

Cet entretien a permi au président d'aboutir à un "accord de principe assorti de deux conditions : pas d'activités pédagogiques (cours, TD, TP, examens, partiels, contrôle continu, oraux) le samedi 14 mars et le lundi 16 mars "Journée d'alerte" (comme cela était déjà prévu) et amplifier la communication sur la journée du 16 mars."

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Le syndicat étudiant Uni s'élève contre la grève des étudiants

Depuis mercredi dernier, l'université du Havre est en grève. L'Uni, le syndicat étudiant de droite, s'insurge contre les "militants d'extrême gauche (qui) multiplient les actions de blocage dans les universités."

tract uni.jpgJohn Villion, responsable de l'Uni havrais, indique sur son blog que "les bloqueurs / casseurs font souvent preuve de violence et d'intimidations envers ceux qui sont en désaccord avec eux, comme hier à Poitiers où un étudiant souhaitant aller en cours a reçu un coup sur la tête de la part d'un bloqueur. Les bloqueurs et les casseurs doivent être sanctionnés", ajoute-t-il. Il poursuit en indiquant que "depuis le CPE en 2006, une nouvelle génération de militants a pris le goût du combat radical, des blocages, du vandalisme. Ils ont continué fin 2007 avec la contestation anti-LRU, sans jamais être sanctionnés."

De ce fait, "l'Uni Le Havre exige que des sanctions soient prises à l'encontre de ces personnes. Une pétition nationale sera diffusée à 200 000 exemplaires sur les campus. 40 000 affiches et 50 000 autocollants viendront appuyer cette campagne afin de faire pression sur les présidents d'universités pour qu'ils assument enfin leurs responsabilités."

Le syndicat demande au président de l'université du Havre de faire évacuer les locaux bloqués, avec l'aide de la police si nécessaire. Il souhaite également des poursuites contre les bloqueurs.

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Le HAC en veut à l'arbitre

Le club du Havre en veut à l'arbitre du récent Lyon - Le Havre.

logo hac.jpgLe HAC a fustigé dans un communiqué l'attitude de l'arbitre de la rencontre. Rappelons que le Lyonnais Kader Keita avait blessé le Havrais Loïc Nestor lors du match ; la sanction décidée alors à l'encontre du Lyonnais a par la suite été levée.

Selon le club, « l’annulation de la suspension de deux matches décidée par la Commission de Visionnage de la LFP à l’encontre de Kader Keita, résulte de l’appel fait par l’Olympique Lyonnais devant la Commission Supérieure de la Fédération Française de Football. Cette décision s’appuie sur le rapport déplorable rendu par l’arbitre de la rencontre M.Hamer. Le Havre Athletic Club estime donc que la commission de la FFF a manqué de discernement et aurait dû appuyer ses conclusions sur les images de la rencontre illustrant la faute caractérisée commise par Kader Keita sur Loïc Nestor, sorti après le tacle sur une civière ».

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