15/05/2013
Permanences de mai de Catherine Troallic, députée du Havre
Madame Catherine TROALLIC, Députée de la 8ème circonscription de Seine-Maritime, assure une permanence sur rendez-vous:
- le vendredi 17 mai de 14h à 17h30 au Havre, 53 rue Collard
- le vendredi 24 mai de 14h à 17h30 au Havre, 53 rue Collard
- le lundi 27 mai de 14h à 16h à Harfleur au pôle administratif Beaulieu
- le vendredi 31 mai de 14h à 17h30 au Havre, 53 rue Collard
Merci de bien vouloir contacter son secrétariat pour prendre rendez-vous au 02 32 72 48 40.
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05/02/2013
Permanences de Catherine Troallic, députée - février 2013
Pour le mois de février, Madame Catherine TROALLIC, Députée de Seine-Maritime, assurera une permanence sur rendez-vous :
- le jeudi 7 février de 14h à 17h au Havre, 53 rue Collard
- le vendredi 15 février de 14h30 à 18h au Havre, 53 rue Collard
- le lundi 18 février de 14h30 à 16h30 à Gainneville
- le vendredi 22 février de 14h à 17h au Havre, 53 rue Collard
- le lundi 25 février de 14h30 à 16h30 à Harfleur, au pôle administratif Beaulieu
Merci de bien vouloir contacter son secrétariat pour prendre rdv au 02 32 74 48 40.
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23/01/2013
Permanences de Catherine Troallic, députée Havraise
Madame Catherine TROALLIC, Députée de Seine-Maritime, assurera une permanence sur rendez-vous :
- vendredi 25 janvier de 14h00 à 17h00 au 11 rue Georges Braque, Le Havre
- lundi 28 janvier de 14h30 à 16h30 au Centre Administratif Beaulieu d'Harfleur
- vendredi 1er février de 14h00 à 17h00 au 53 rue Collard, Le Havre
Vous êtes invités à contacter son secrétariat pour prendre rendez-vous au 02 35 43 48 80.
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21/09/2012
Permanences des députés Havrais
Les prochaines permanences des députés du Havre auront lieu les 28 et 29 septembre 2012.
- Pour la 7ème Circonscription de Seine-Maritime, avec Edouard Philippe, député UMP :
- Pour la 8ème Circonscription de Seine-Maritime, avec Catherine Troallic, députée socialiste :
Vendredi 28 septembre, de 14h00 à 17h00, rue Georges Braque au Havre. Réservation obligatoire au 02 35 43 48 80.
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07/09/2012
Permanence de Catherine Troallic, députée Havraise
Communiqué - Catherine Troallic, députée de la 8ème Circonscription de Seine-Maritime, vous informe...
"Madame Catherine TROALLIC, Députée de Seine-Maritime, assurera une permanence sur rendez-vous le vendredi 14 septembre 2012 de 14h à 17h au 11 rue Georges Braque au Havre. Merci de bien vouloir contacter son secrétariat pour prendre rdv au 02 35 43 48 80."
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23/03/2012
Laurent Fabius au Havre, pour 100 jours de Présidence
Le député de Seine-Maritime a présenté, au-delà d'un simple programme, la manière que devra utiliser François Hollande pour diriger, s'il est élu.
Après un passage à Sciences-Po au Havre pour parler de la place de la France dans l'Europe et dans le monde, Laurent Fabius s'est rendu hier soir dans une salle communale pour parler du projet présidentiel socialiste.
Aux côtés des candidats aux législatives, Laurent Logiou, Nada Afiouni, Catherine Troallic et Matthieu Brasse, l'ancien Premier ministre a tenté le jeu de la vérité, devant un public de 200 Havrais et Havraises. "Sans que la Presse locale n'en ait parlé, alors que l'information de l'annulation au même moment d'une réunion UMP a quant à elle été relayée", indique Matthieu Brasse, Secrétaire de section du Parti Socialiste.
C'est donc d'abord à un véritable cours magistral, la Salle Cassin devenant l'espace de 2 heures une sorte d'amphithéâtre, que Laurent Fabius a donné. Car son sujet, il le maîtrise parfaitement et tient à l'exprimer, même si la technicité rend parfois difficile le contenu pour l'assistance. "A la demande de Martine Aubry", rappelle-t-il, il a été chargé de "travailler sur le projet socialiste". Cela a été "réalisé avec des responsables socialistes et des experts."
Le quinquennat voulu par la Gauche se décompose donc en "3 périodes : de mai 2012 au 15 juin 2012, soit aux Législatives. Une période sans Assemblée Nationale, qui vise à constituer le gouvernement et à préparer le travail. Une seconde, qui va de la constitution de l'Assemblée Nationale à juin 2013 et une troisième de juin 2013 à la fin du quinquennat." Un programme qui "n'est pas figé, mais défini ; il arrivera en effet un certain nombre d'événements que l'on ignore d'ici-là". L'ancien Premier ministre a ainsi expliqué les mesures qui attendent les Français, de la composition de gouvernement au prix du gaz et de l'électricité, de l'augmentation du SMIC à la dette de l'Etat, du G20 à la Loi de finance rectificative, de l'état de l'Union Européenne à l'éducation, etc. Un discours très technique, donc.
Une première pour le PS
"Ce travail n'a jamais été effectué avant : en 1981 nous n'avions aucune expérience de l'Etat. En 1988, François Mitterand étant le président sortant, cela n'avait pas été fait." Et par la suite non plus... Jusqu'à aujourd'hui. "Nous avons pris le temps de réfléchir au contenu précis des mesures et à la méthode de gouverner. L'objectif est que les personnes qui seront chargées de diriger le pays aient les dossiers prêts sur tous les sujets." En effet, estime Laurent Fabius, "Les personnes qui vont voter pour le changement veulent que le changement soit préparé et appliqué."
Les attaques contre Nicolas Sarkozy
Matthieu Brasse a donné le ton : "Je vous invite également à lire le programme de la Droite. D'ailleurs, si vous le trouvez, envoyez-nous le, ça sera une première, puisqu'ils n'en ont pas". Et Laurent Fabius a poursuivi à de multiples reprises : "Déontologie et Sarkozy, ça rime mais ça ne rime pas vraiment", ou "François Hollande va baisser son traitement et celui des ministres de 30%, à contrario de l'ancien président, qui s'est octroyé une modeste augmentation de 172%." Il soutient par ailleurs qu'à la demande de Nicolas Sarkozy "il y a aujourd'hui toute une série d'entreprises qui retiennent les licenciements et qui les appliqueront après les élections." Quant au Conseiller territorial, qui doit remplacer Conseiller général et Conseiller régional, il le nomme l'"homo-sarkozykus" et annonce sa disparition.
Il soupçonne également le président de "maux" à découvrir : "quand on fera le bilan des années Sarkozy, on verra des choses qu'on ne voit pas encore". Et ses bras droits ont également le droit à leurs pics : "Madame Alliot-Marie et Alain Juppé on serré des mains, se sont faits inviter par des hommes comme Kadhafi ou Bachar El Assad". Sur la politique étrangère justement, il note que "des chefs de gouvernement" parlent de Nicolas Sarkozy avec cette formule : "Il est énergique, mais on ne peut pas compter sur lui".
Des questions/réponses pour le jeu de la vérité
Au terme de son allocution, Laurent Fabius s'est livré au jeu des questions/réponses. Infirmier libéral, retraité, père d'un garçon autiste, femme en emploi à temps partiel ont ainsi pu poser des questions sur leur situation propre. Auxquelles l'invité a répondu en détails.
La question la plus délicate et peut-être la plus attendue dans ce jeu aura été politique. "Je voudrais parler de tous ceux qui ont été mis en examen mais qui gouvernent, comme Monsieur Juppé. Monsieur Hollande fera-t-il comme Monsieur Sarkozy en plaçant ses petits copains, même condamnés par la Justice ?" La réponse de Laurent Fabius : "D'abord, si Sarkozy est libre, c'est-à-dire qu'il n'est plus président, il est inéligible. (...) Il ment comme il respire. François Hollande appliquera un programme clair : les élus qui ont été condamnés seront inéligibles pendant 10 ans. C'est d'autant plus méritoire que ça peut concerner aussi certains socialistes." Une réponse qui s'est soldée par des applaudissement nourris.
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26/09/2011
Politique - Martine Aubry, candidate socialiste, au Havre
L'Armada qui accompagnait Martine Aubry, candidate à la primaire socialiste, a suivi au pas de charge la Secrétaire nationale du parti, venue parler de l'industrie française à Sandouville.
Après Caen ce matin, Martine Aubry est venu à Sandouville cet après-midi, pour une heure d'entretiens avec les responsables CGT de l'usine Renault. Elle a poursuivi ensuite sa route dans la campagne normande, en direction de Canteleu, où elle sera en meeting ce soir.
Aux côtés de la candidate, les élus locaux et régionaux étaient en nombre pour la soutenir : Laurent Logiou et Catherine Troallic pour les élus à la Ville du Havre, Didier Marie pour le Département de Seine-Maritime, Guillaume Bachelay pour la Région, Estelle Grelier pour l'Europe, Laurent Fabius... Matthieu Brasse, Secrétaire de section socialiste accompagnant comme il se doit la délégation. Une délégation qui n'aura pas obtenu l'autorisation d'entrer sur le site de l'usine, mais qui a été reçue par la délégation CGT, qui avait de nombreuses requêtes à formuler.
D'entrée de jeu, le ton est clair pour les salariés de l'usine Renault : "On veut des engagements, pas des promesses". "Déçus par les mensonges de Sarko et Ghosn", qui "ont promis il y a trois ans que l'utilitaire viendrait combler le haut de gamme", ils souhaitent connaître leur avenir dans Renault, à Sandouville : "Notre vie est là, notre famille est là", martèlent-ils. Cela se traduit par un projet industriel, que la CGT travaille depuis trois ans, afin de faire des propositions pour l'avenir de l'usine et qu'ils ont remis à Martine Aubry.
La candidate s'engage donc : d'abord sur la pérennité du site, ensuite sur une modification des conditions de travail à Renault, enfin par le retour à 60 ans de la retraite pour tous.
Elle indique ainsi qu'en "Allemagne, les salaires restent supérieurs à ceux de la France dans l'industrie. Il y a un véritable programme de formation dans les entreprises et quand une entreprise doit utiliser le chômage partiel les salariés sont formés ces jours-là. C'est ça, l'Allemagne, c'est pas ce qu'en dit Sarkozy." De même, elle note que "le Japon s'implante en France avec Toyota, alors que Renault délocalise." Une situation incohérente pour la Secrétaire du Parti Socialiste.
Le porte-parole de la CGT souligne de son côté que "Renault crée des véhicules recyclables à 95%, mais personne ne recycle" en France. La Maire de Lille indique qu'une entreprise américaine est d'ailleurs sur le point de s'établir à Valenciennes, pour réaliser de la déconstruction. Un domaine "très très créateur d'emploi". Sur Le Havre, l'ancien Maire, Antoine Rufenacht, se serait en son temps opposé à la construction d'un atelier de déconstruction, qu'il nommait selon le syndicat "casse à ciel ouvert".
Martine Aubry s'est ensuite exprimée sur les thèmes nationaux, dont la victoire de la Gauche aux élections sénatoriales d'hier. Elle soutient ainsi Jean-Pierre Bel à la présidence du Sénat, ce que Laurent Fabius juge "raisonnable". Elle rappelle par ailleurs que les socialistes élus au Sénat hier doivent démissionner de leurs autres postes, ayant chacun signé le non-cumul des mandats, l'un de ses chevaux de bataille pour 2012.
Texte et photos Alexandre Cauchois.
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29/09/2010
Le Parti Socialiste havrais au secours des Collectivités territoriales
Au lendemain du vote à l'Assemblée Nationale, le Parti Socialiste du Havre s'indigne d'une loi qu'elle juge "dangereuse".
Le dossier aurait pu passer inaperçu, entre la réforme des retraites et la loi sur l'immigration. C'est en tout cas, pour Laurent Logiou, l'objectif du Gouvernement.
Selon Matthieu Brasse, la réforme, qui doit encore être votée au Sénat, pose plusieurs problèmes. D'abord, les Conseillers Territoriaux élus en 2014 remplaceront les Conseillers Généraux (élus aux Cantonales, siégeant au Département) et les Conseillers Régionaux (élus aux Régionales). Si cela semble permettre des économies, cela "éloignera les élus du terrain" : ils seront surchargés de travail et deviendront des bureaucrates sans contact avec les citoyens. Pire, "cela coûtera plus cher" : si les élus actuels ont une activité professionnelle qui les font vivre, cela sera impossible ; le poste deviendra "purement politique", avec un salaire lié à une activité à temps plein. Deuxième effet de la réforme : la perte de liberté des élus. "Les missions sont définies par la Loi et limitées". Pour finir, "Il y aura la limitation des financements croisés. Les projets ne pourront plus être financés à plus de 30%."
Ce qui signifie concrètement, ajoute le Secrétaire de Section du Parti Socialiste, qu'il y aura "moins de subventions aux associations sportives, culturelles, moins d'argent également pour les bailleurs sociaux. Ce sera aussi la mise en cause de projets communaux. Un coup de massue aux citoyens."
Afin d'expliquer leurs inquiétudes, Laurent Logiou cite la SNSM du Havre, qui vient d'acquérir une vedette d'un coût de 860 000 euros. "Du matériel de professionnels pour les sauveteurs. Sans les subventions du Département et de la Région, les cotisations des adhérents n'auraient pas suffi. Avec la nouvelle Loi, cet achat indispensable devient impossible. C'est pareil avec le Grand Stade, financé à hauteur de 10 millions par le Département et de 20 millions par la Région." Il ajoute que les problèmes de finance seront connus également pour les hôpitaux par exemple et par extension "à tous les particuliers."
Gérard Heuzé souligne que cette Loi "n'est pas une affaire d'élus. C'est une affaire qui nous concerte tous dans tous les domaines." Ainsi, les logements sociaux eux-aussi seraient concernés. "L'Etat se désengage ; le Département et la Région ne pourront plus cofinancer les projets. Il faudrait, pour continuer d'en construire, augmenter les loyers, mais l'Etat le limite également."
Par contre, ajoute Catherine Troallic, "l'Etat continuera les financements croisés. Faites ce que je dis, mais pas ce que je fais !"
Dernière conséquence de la réforme, relevée par Najwa El Aïté : "la casse de la Parité." Pour elle, "le scrutin uninominal majoritaire à deux tours fera disparaître la parité hommes - femmes."
En Haute-Normandie, les Départements de Seine-Maritime et de l'Eure et la Région coopèrent déjà, par exemple pour les demandes de subventions. L'objectif rejoint celui que l'Etat affiche avec la réforme des collectivités territoriales : une baisse des coûts.
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